Le tribunal de Bobigny doit trancher la question ce vendredi 18 mai.
La direction de la SNCF considère que la grève commencée en avril par les cheminots constitue un seul et même mouvement. En conséquence, elle estime ne pas avoir à payer les jours de repos. Une situation contestée par les syndicats, qui défendent le fait davoir déposé plusieurs préavis de grève.