La France va devoir clarifier sa position pour mettre fin au «cafouillage» sur le sort des femmes jihadistes et de leurs enfants détenus en Irak et en Syrie.
Ces personnes sont «en danger», a plaidé l'avocat de trois Françaises détenues. Il doit porter plainte contre x ce vendredi 27 avril avec constitution de partie civile.
La première plainte avait été classée sans suite. Avec cette nouvelle demande, les avocats espèrent une prise de conscience des autorités françaises.