Sabres laser, stormtroopers, droïdes, ... la bande-annonce de «Star Wars: l'ascension de Skywalker», dernier film de la série originale entamée en 1977, a été dévoilée ce mardi 22 octobre.
Intitulé «Star Wars: l'ascension de Skywalker» et réalisé par J.J. Abrams, l'épisode 9 doit sortir fin décembre dans les salles du monde entier.
«Ce film, en plus d'être la fin des trois trilogies, doit aussi fonctionner par lui-même», a déclaré J.J. Abrams sur scène après la présentation de l'extrait, long de deux minutes.
La bande-annonce débute sur un gros plan de Rey, dans un paysage désertique, empoignant un sabre laser passé dans sa ceinture pendant que la voix de Luke Skywalker (Mark Hamill) résonne à nos oreilles.
«Cela parle de cette nouvelle génération et de ce dont ils ont hérité, la lumière et l'ombre», a résumé J.J. Abrams, qui avait déjà réalisé l'épisode 7 «L'Eveil de la Force», avant de laisser les commandes à Rian Johnson pour «Les Derniers Jedi».
Mais «Star Wars: l'ascension de Skywalker» ne suit pas immédiatement les événements de l'épisode 8 (sorti en 2017). «Un peu de temps a passé», a confirmé J.J. Abrams.
Kylo Ren, Finn, Poe, BB-8, mais aussi C3PO, Chewbacca et Lando Calrissian à bord de leur légendaire Faucon Millenium, le dernier épisode de la saga reprend les principaux personnages adulés par les fans depuis plus de quarante ans.
Le retour à l'image de Carrie Fisher
Le film fait même revenir certains que l'on croyait disparus, comme l'empereur Palpatine, joué depuis le début par l'acteur Ian McDiarmid, présent sur scène à Chicago avec le reste du casting. C'est le rire sinistre de Palpatine qui conclut l'extrait présenté vendredi.
«Star Wars: l'ascension de Skywalker» inclut également des scènes avec Carrie Fisher, qui jouait la princesse Leïa et qui est décédée brutalement fin 2016.
«Le miracle est d'avoir eu un certain nombre de scènes de 'L'Eveil de la Force' qui n'avaient pas été utilisées» et qui ont permis de poursuivre l'histoire après la disparition de l'actrice emblématique, a expliqué J.J. Abrams, lequel n'a jamais envisagé de la faire revivre sous forme de «personnage généré par ordinateur».