Hormis son titre à Hobart (Australie) en début d’année, la première partie de saison d’Alizé Cornet ressemblait à une longue traversée du désert.
La faute à une blessure au dos et un difficile retour à la compétition avec des résultats en berne, qui ont fait redescendre l’ancienne n°1 française au 48e rang mondial. Mais, avant d’affronter ce jeudi l’Allemande Tatjana Maria, la Niçoise semble entrevoir sur la terre battue parisienne la «lumière au bout du tunnel», qu’elle implorait ses dernières semaines, à la faveur d’une entrée en lice parfaite.
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«Je vois que la magie de Roland-Garros est encore dans l’air», s’était-elle réjouie. Au point de pouvoir faire aussi bien ou mieux que son 8e de finale l’année dernière, qui est sa meilleure performance à la Porte d’Auteuil, alors que se profile une adversaire à sa portée ? «Je ne vais pas me mettre sous pression parce que je joue une fille moins bien classée, a-t-elle confié. Je ne dois pas tomber dans les pièges de base de Roland-Garros.» Car plus dure serait la (re)chute…
On remet ça demain en 4ème match sur le 2 ? #allez #abloc #jevousattend
Tomorrow 4th match on court 2 #RG16 pic.twitter.com/gkZI9AW8n1— Alize Cornet (@alizecornet) 25 mai 2016