Dans "Alone : les survivants”, dix candidats âgés de 22 à 47 ans participent volontairement à une expérience de survie ultime où leurs nerfs seront mis à rude épreuve.
Dans cette émission imaginée par la chaîne américaine History - et qui ferait presque passer le programme de M6, 'The Island : seuls au monde', pour une sortie de groupe à Disneyland Paris – dix hommes rompus à l’exercice de la survie sont lâchés en pleine nature sur l’île de Vancouver avec, pour seul bagage, un sac à dos contenant le strict minimum qu’ils pouvaient emporter avec eux. C’est le point de départ d’une aventure hors norme pour les candidats, et terriblement addictive pour les téléspectateurs. Voici pourquoi :
Le gagnant est grassement récompensé… mais ne le saura qu’au dernier moment
Celui qui parvient à rester le plus longtemps sans craquer remporte la somme de 500 000 dollars, soit près de 457 000 euros. Un montant élevé qui garantit un minimum de motivation de la part des participants. La particularité de cette émission tient également au fait qu’aucun d’eux ne sait qui a abandonné et s’il fait partie des derniers survivants. Ce n’est qu’au dernier moment que le vainqueur sera informé de sa victoire. Un détail primordial tout au long du programme en raison de la pression psychologique que cela implique.
Des candidats complètement seuls
Contrairement à The Island qui, au début tout du moins, ressemblait presque à un camp de scouts où les prises de becs finissaient par éclipser l’expérience de survie en elle-même, les candidats de Alone sont complètement seuls, séparés des autres par les eaux, ou la montagne. Les survivants sont équipés d’une caméra portable et d’une caméra à détecteur de mouvements pour se filmer. La solitude est une des pires épreuves à relever dans ce programme. Et certains finissent par ne plus la supporter.
Des conditions de survie extrêmes
L’île de Vancouver est loin d’être paradisiaque. Surtout si on est obligé d’y camper seul, sans rien à boire, ni manger. Et sans feu. Le taux d’humidité est tellement élevé que les candidats éprouvent les pires difficultés pour parvenir à en faire malgré leur connaissance en la matière (certains développent des techniques ultra-ingénieuses pour en faire). Les températures ne sont pas non plus idéales, oscillant autour des 4/5°C, et des minimales situées en dessous de 0°C la nuit.
Une faune menaçante
Pas moins de 200 loups, 7 000 ours noirs, et près de 1 000 pumas chassent sur l’île de Vancouver. Ici, ce n’est pas l’homme le prédateur, c’est lui qui est la proie. Et quand certains candidats tombent nez à nez (littéralement) avec une de ces bêtes sauvages, la panique se lit sur leur visage. Les cris des loups à la nuit tombée sont capables de casser le moral d’un homme. Et Alone en est la preuve cathodique.
Des candidats émouvants et bluffants
Ce qui fait la force d’Alone, c’est aussi que les candidats sont tous des professionnels de la survie avec leurs propres techniques, leurs forces, et leurs points faibles. A chaque épisode, les téléspectateurs apprennent plusieurs choses utiles, que ce soit des participants eux-mêmes, ou des messages qui apparaissent à l’écran pour expliquer ce qui est bien ou non de faire. Les téléspectateurs vont faire connaissance avec des hommes étonnants tant ils maîtrisent les rudiments de la survie. Mais malgré leur expérience, tous sont poussés dans leur retranchement et doivent lutter chaque seconde pour ne pas perdre pied et poursuivre l’aventure. Un seul d’entre eux y parviendra. Mais lequel ?
Alone : les survivants, D17, à partir du mardi 10 novembre à 20h50