Ce mercredi soir en Ligue des champions, Lille est allé s'imposer sur la pelouse de Bologne (2-1). De son côté, Monaco s'est incliné à domicile contre le Benfica Lisbonne (3-2).
Bologne-Lille : 1-2
Lille a enchainé un nouveau succès mercredi soir (2-1) face à Bologne. En Italie, face à l’un des derniers de la compétition (0 point), les Lillois ont dû batailler jusqu'au bout pour enregistrer une troisième victoire dans la compétition reine grâce à un doublé de Ngal'ayel Mukau (44e, 66e).
«C’est un très bon match pour nous. Moi, c’est la première fois que je joue comme ça un peu plus haut, a confié le double buteur. D’habitude je suis milieu défensif, mais le coach voulait tester un autre truc. Je suis très content de mes deux premiers buts. Je n’avais jamais marqué, même dans mes anciens clubs ! Marquer en Ligue des champions, c’est un rêve depuis tout petit. Sur mon premier but, j’ai essayé avec mon pied gauche, le gardien l’a arrêté, mais c’est rentré avec le droit (sourire). Même chose sur le deuxième. Je suis très content.»
Les joueurs de Bruno Genesio se rapprochent de la qualification en barrages de la Ligue des champions. Les Dogues rejoignent Brest et Monaco avec 10 points. Ils sont 12e, aux portes du top 8. Selon les prédictions d'Opta, avec 10 points, la qualification pour les barrages est assurée à 99%.
Monaco-Benfica : 2-3
Au terme d'un match serré, l'ASM a fini par craquer en fin de match et a été renversé par le Benfica. Réduits à dix après l'expulsion de Wilfried Singo, les Monégasques n'ont pas réussi l'exploit d'enchainer une quatrième victoire et sont désormais 8e du classement.
Ils ont concédé leur première défaite avant de se déplacer à Arsenal. Après avoir mené (2-1) grâce à Soungoutou Magassa et Eliesse Ben Seghir, les hommes d'Adi Hütter n'ont pu rien faire en fin de match notamment face à Angel Di Maria, auteur de trois passes décisives.
«Ce n'est pas le résultat qu’on voulait. Le sort du match s’est joué sur ce carton rouge, ça a été difficile pour nous. Il va falloir qu’on gère mieux nos émotions, a confié Ben Seghir. Certains cartons étaient un peu sévères, c’est comme ça, on ne peut pas tout contrôler. On doit être des professionnels, ça ne doit pas nous déstabiliser.»