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«C’est le plus gros pleurnichard du monde» : l’entraîneur des Spurs de San Antonio s’en prend violemment à Donald Trump

Gregg Popovich évoque régulièrement l’élection présidentielle américain avec ses joueurs. Gregg Popovich évoque régulièrement l’élection présidentielle américain avec ses joueurs. [SUSA / Icon Sport]

En marge de la victoire des Spurs de San Antonio face aux Houston Rockets (109-106), Gregg Popovich a sévèrement critiqué Donald Trump à un peu plus d’une semaine de l’élection présidentielle aux États-Unis.

À un peu plus d’une semaine de l’élection américaine aux États-Unis, la bataille fait rage entre Donald Trump et Kamala Harris. Chaque candidat peut compter sur des soutiens de taille, mais ils doivent aussi faire face à leurs détracteurs. C’est le cas de Donald Trump qui s’est attiré les foudres de Gregg Popovich.

En marge du premier succès de la saison des Spurs de San Antonio contre les Houston Rockets (109-106), l’entraîneur de la franchise texane a sévèrement critiqué l’ancien président américain (2017-2021), qui était présent dans le Texas il y a quelques jours et qui est au coude-à-coude avec son adversaire dans les sondages.

«Je regardais son meeting en Pennsylvanie. Est-ce que ceux qui portaient des casquettes rouges sont au courant qu’il a dû payer de l’argent à cause de ses pratiques racistes dans l’immobilier à New York, que son université était une arnaque, qu’il a perdu beaucoup d'argent avec ses casinos ? Qu’est-ce qu’il fait pour que les gens votent pour lui ? Ils doivent penser qu’il est fort, mais c’est le plus gros pleurnichard du monde», a lâché Gregg Popovich.

Mais il ne voulais pas en rester là. Il a encore été plus loin dans ses attaques. «C’est un malade. Il est pathétique, c’est un petit homme et on le sait tous», a-t-il ajouté, craignant son éventuel retour à la Maison-Blanche.

«C’est une situation tellement dangereuse. Nos enfants, nos petits-enfants devront subir les conséquences de ses actes. J’espère que ceux qui n’ont pas l’intention de voter ne resteront pas chez eux, qu’ils comprendront que ce type est une arnaque, une très belle arnaque, la meilleure. Mais il me donne envie de vomir», a déclaré Gregg Popovich, qui évoque régulièrement cette élection avec son groupe.

Et il devrait encore en avoir l’occasion jusqu’au déplacement aux urnes des Américains prévu le 5 novembre.

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