Une enquête a été ouverte ce mardi par la Confédération Africaine de Football, après les incidents à la fin du match Maroc-RD Congo (1-1), dimanche à la CAN 2024. Voici ce que les deux nations risquent.
Dans un communiqué, la CAF a indiqué ce mardi qu’une enquête était ouverte envers les Fédérations marocaine et congolaise, après les incidents de fin de match de dimanche, lors de la deuxième journée de la phase de groupes de la CAN 2024.
«La CAF a ouvert une enquête contre la Fédération Royale Marocaine de Football et la Fédération Congolaise de Football, suite aux incidents survenus à la fin de la rencontre entre le Maroc et la République démocratique du Congo», a-t-elle indiqué.
Des amendes et des suspensions ?
Si la CAF a indiqué qu’elle ne fera «aucun commentaire à ce sujet tant que l'enquête n'est pas terminée», les deux fédérations pourraient écoper d’amende. Concernant les protagonistes, et notamment Chancel Mbemba et Walid Regragui, dans le pire des cas - et selon l’enquête qui déterminera la gravité des faits ou non - ils risquent une suspension de quelques matchs.
La CAF pourrait aussi décider de classe l'affaire sans suite.
Le Maroc est premier du groupe F avec 4 points, suivi par la République démocratique du Congo avec 2 points.