C’est souvent le cadeau qui fait le plus plaisir : un livre. Alors pourquoi ne pas en offrir pour ce Noël 2022 et plus particulièrement sur le thème du sport ? Voici une sélection de cinq livres.
Formule 1 2022, le livre d’or
C’est l’annuel de référence de la saison de Formule 1. L’occasion de revivre une année où les tifosi auront rêvé du sacre de Charles Leclerc et les fans de Sir Lewis d’un possible retour… mais où Max Verstappen a finalement été impérial.
Formule 1 2022, le livre d’or, Solar Éditions, 29,90 euros
Boris Herrmann - Mon premier Vendée Globe
Boris Herrmann revient sur son tout premier Vendée Globe vécu en 2020-201. Du sauvetage de Kevin Escoffier aux énormes défis mentaux qu'il a dû relever, le premier skipper allemand à participer à la régate la plus célèbre du globe offre un récit palpitant.
Boris Herrmann - Mon premier Vendée Globe, Talent Sport, 20,99 euros.
Le grand livre du MMA : des origines jusqu’à l’UFC
De Conor McGregor, Khabib Nurmagomedov, Georges St-Pierre à Ciryl Gane, le média La Sueur, spécialisé dans le MMA et l’UFC surtout, sort cet ouvrage très complet. Entre fantasme nourri par la peur de l'inconnu et fascination teintée de respect, le MMA est LA révélation de cette décennie. La France, d'abord frileuse, est passée à l'ère des arts martiaux mixtes de manière spectaculaire, forte d'un public toujours plus fervent. L’occasion de tout découvrir.
Le grand livre du MMA : des origines jusqu’à l’UFC, Ed. Marabout, 42,90 euros.
L’Equipe, 1.000 Unes
En soixante-seize ans d’histoire, près de 25.000 Unes de L’Équipe ont été publiées. C’est dans ce trésor accumulé depuis la première parution de L’Équipe, le 28 février 1946, que ces 1.000 Unes ont été sélectionnées pour raconter le destin de centaines de champions et championnes, d’équipes de France et d’ailleurs.
L’Equipe, 1000 Unes, Solar Editions, 35 euros.
«Mon Slip était trop petit» - les plus belles excuses des mauvais perdants
C’est une évidence, les perdants sont plus nombreux que les gagnants. Au cœur de cette masse sportive à la mine défaite, on distingue deux catégories : celle des vaincus qui reconnaissent avec humilité la supériorité de l’adversaire. Et l’autre, celle des mauvais perdants, qui brandit le déni comme un étendard et la mauvaise foi comme un bouclier. Car le mauvais perdant ne s’avoue jamais battu !
Les plus belles excuses des mauvais perdants, Solar Éditions, 12,90 euros.