Juste avant la rencontre entre son équipe des Jazz de l’Utah contre Dallas lors du sixième match, le pivot Français, Rudy Gobert, est apparu avec une partie du visage enflée. Cela est dû à une piqûre d’abeille venant de sa ruche personnelle.
Être apiculteur ne s’improvise donc pas et peut même être risqué. C’est ce qu’à pu constater Rudy Gobert, le pivot du Jazz de l’Utah. Avant la rencontre face aux Mavericks, le Français a du répondre aux questions concernant cette anomalie à son visage, comme l'a rapporté le site basketusa.com.
Si le basketteur a assuré que sa vue n’avait pas été impactée par cet incident, ce dernier lui a permis d'évoquer en détail sa passion pour l’apiculture. En effet, le pivot possède une ruche dans sa propriété de l'Utah, surnommé d'ailleurs le «Beehive State», autrement dit, l’État de la Ruche.
Une sensibilité pour l'environnement
En conférence de presse, le joueur de basket a fait part de son attrait pour les abeilles : «Ça doit faire un an. J’ai toujours voulu avoir une ruche à la maison. Ça s’est plutôt bien passé. J’ai dû être piqué peut-être trois fois depuis que je l’ai. Mais là, c’est juste à un endroit compliqué», a-t-il expliqué en montrant son œil gauche.
«Ça peut être bénéfique d’être piqué par une abeille, même si ça ne se voit pas vraiment là. Mais ça peut avoir des effets bénéfiques sur la santé. Il existe des traitements où les gens se font piquer volontairement. Mais ce n’est pas mon cas».
Rudy Gobert possède une ruche chez lui et il s’est fait piquer au visage, près du nez, par l’une de ses abeilles.
via IG. pic.twitter.com/8ZOoH94EsW— Basket USA (@basketusa) April 28, 2022
Selon le pivot, il se serait fait piquer parce que les abeilles avaient été perturbées, en raison du déplacement de la reine. Pas de quoi le faire changer d'avis sur les bienfaits de cette passion.
«C’est bon pour l’environnement, le paysage, les fleurs et fruits aux alentours. Et j’adore le miel, donc c’est super. Ça s’est bien passé, même si parfois, ça peut faire des dégâts. Mais en général je me sens bien les jours qui suivent.»