Il n’a, cette fois, pas échappé à une condamnation. David Beckham a écopé, ce jeudi, par un tribunal londonien, de six mois de suspension de permis pour avoir utilisé son portable au volant de sa Bentley en novembre dernier.
Le «Spice Boy» circulait dans le quartier londonien de West End lorsqu’il a été aperçu téléphone en main par un témoin, qui a transmis l’information à la police. L’ancien capitaine de l’équipe d’Angleterre, qui avait fait le déplacement, a reconnu les faits et plaidé coupable.
Ce n’est pas la première fois que David Beckham est poursuivi pour son comportement au volant. Au mois de septembre, il avait déjà été épinglé pour un excès de vitesse après avoir roulé à plus de 90 km/h dans une zone limitée à 65km/h à l’ouest de Londres. S’il avait également reconnu son entorse au code de la route, il avait évité une sanction grâce à une erreur de procédure. Le courrier notifiant son excès de vitesse était arrivé un jour après la limite fixée à 14 jours.
En 1999, il avait aussi vu son interdiction de conduire de huit mois annulé grâce à son avocat, qui avait prétexté que son client tentant d’échapper à un paparazzi.