Au lendemain de la défaite du XV de France face à l’Ecosse (32-26), la deuxième en autant de rencontres dans le Tournoi des Six nations, sept joueurs tricolores ont été interrogés lundi par la police écossaise en qualité de témoins potentiels à la suite d’une agression sexuelle dans le centre d’Edimbourg.
Après investigation, les autorités locales ont précisé que les Bleus, qui avaient été autorisés à sortir par le sélectionneur Jacques Brunel, n’ont commis aucun crime.
Néanmoins, si Bernard Laporte, président de la Fédération française de rugby a tenu à indiquer que ce n’était «pas méchant», le rugby français se serait bien de cette mauvaise publicité.
Match de la peur contre l'Italie
Avec une série de huit rencontres sans succès (sept défaites, un nul), le bilan sportif de l’équipe de France fait peine à voir et inquiète fortement.
Et la réception de l’Italie, le 23 février à Marseille, ressemble à un véritable «match de la peur» où l’objectif sera de sauver le Tournoi et d’éviter une cuillère de bois. Les Bleus ont dix jours pour travailler et se faire discrets.
La FFR confirme que certains joueurs sont entendus par les autorités Écossaises. Nous sommes en attente de plus d'informations.
— FF Rugby (@FFRugby) 12 février 2018