Jennifer Aniston a répondu aux rumeurs les plus choquantes jamais écrites sur elle-même tout au long de sa carrière à Hollywood. La star de Friends en a démenti certaines mais aussi confirmé quelques autres pourtant très étranges.
Elle a joué cartes sur table. Invitée ce mercredi dans le «Jimmy Kimmel Live», l’actrice Jennifer Aniston, qui faisait la promotion de son nouveau livre pour enfants, a été interrogée par l’animateur sur les plus folles rumeurs qui ont un jour couru à son sujet.
L'animateur Jimmy Kimmel a commencé avec le titre d'un magazine tabloïd : «La vérité sur Jen et Barack !», suivi de «Michelle trahie alors qu'Aniston vole l'attention de son mari.»
«Y a-t-il du vrai dans tout cela ?», a demandé Jimmy Kimmel à propos du triangle amoureux évoqué avec l'ancien président Barack Obama et la première dame Michelle Obama. La star a déclaré que c'était «absolument faux», et a souligné qu'elle connaissant plus Michelle que Barack, et n'avait rencontré l'ex-président qu'une seule fois.
L’animateur a ensuite évoqué une autre rumeur, à savoir celle qui voudrait qu’elle ait eu recours à un «soin du visage au sperme de saumon». Cette fois l’actrice a admis que la rumeur était vraie, précisant néanmoins avec humour qu’elle n’avait pas elle-même extrait la substance.
L’ancienne star de «Friends» a également confirmé qu'elle avait été approchée pour un selfie alors qu'elle était nue dans un sauna, ce qu’elle a refusé, a-t-elle souligné.
Des cendres de sa thérapeute dans un sac plastique
Concernant les rumeurs farfelues selon lesquelles elle posséderait les cendres de sa thérapeute décédée dans un sac Ziploc, la star n’a pas nié.
«Vous avez un sac ziploc rempli des cendres de votre thérapeute décédée ? C'était un peu vrai, non ?», lui a demandé Jimmy Kimmel. Ce à quoi elle a répondu : «Puis-je invoquer le cinquième amendement ?», avant d’ajouter en plaisantant : «C'est un peu vrai, je vais avoir l'air d'avoir vraiment besoin d'un thérapeute après ça.»
En 2012, Jenifer Aniston avait déjà expliqué à GQ qu'elle avait une relation spéciale avec sa thérapeute, et qu’elle conservait une partie de ses restes. «J'ai les cendres de ma thérapeute dans un sac. Elle me considérait un peu comme sa fille, et je la considérais un peu comme ma mère», avait-elle dit. «Je suis allée à ses funérailles. Ils l'ont divisée en petits sacs Ziploc qu'ils ont distribués comme des cadeaux de fête.»