Vin Diesel est visé par une plainte déposée par une ancienne assistante de l’acteur. Cette dernière affirme avoir été sexuellement agressée en 2010, pendant le tournage du film «Fast & Furious 5». Des accusations réfutées catégoriquement par le comédien de 56 ans.
La justice a été saisie. Selon une information révélée par le site américain Vanity Fair, une ancienne assistante de Vin Diesel, Asta Jonasson, vient de porter plainte contre lui pour agression sexuelle. Les faits remonteraient à l’année 2010, pendant le tournage du film «Fast & Furious 5». Le comédien l’aurait fait venir dans la chambre de son hôtel, avant d’essayer de la forcer à le rejoindre dans son lit.
Dans sa plainte, elle précise lui avoir demandé d’arrêter avant de se diriger vers la porte. C’est alors qu’il se serait rapproché d’elle pour lui caresser les seins et embrasser sa poitrine. Il aurait également tenté de lui enlever ses sous-vêtements avant qu’elle ne se mette à crier pour finir par se réfugier dans la salle de bain. Vin Diesel l’aurait dès lors pressé contre le mur, lui demandant de toucher son pénis en érection, avant de se masturber.
«Madame Jonasson était dans l’incapacité de s’enfuir et a fermé les yeux, effrayée à l’idée d’énerver Vin Diesel en le rejettant, et essayant de se dissocier en espérant que l’agression se termine», précise la plainte. Quelques heures après cet incident, la sœur de l’acteur, Samantha Vincent, qui est la présidente de sa société One Race, l’aurait appelée pour lui informer de son licenciement immédiat.
L’avocat de Vin Diesel, Bryan Freedman, a publié un communiqué hier, dans l’après-midi, dans lequel il précise que le comédien réfute cette accusation dans son intégralité. «Laissez-moi être bien clair : Vin Diesel réfute catégoriquement cette accusation dans son intégralité. C’est la première fois qu’il entend parler de cet incident plus de 13 ans après les faits qui lui sont reprochés par une employée qui a travaillé seulement 9 jours. Il y a des preuves formelles permettant de réfuter ces étranges allégations», peut-on lire.