IVG, IMG, fausses couches… Lou Douillon, enceinte de son deuxième enfant, s’est confiée sur ses expériences passées dans un message intime et engagé, partagé sur son compte Instagram.
Lou Doillon à cœur ouvert. Pour célébrer toutes les femmes à l’occasion de la fête des mères qui s’est tenue dimanche, Lou Douilla s’est livré aux confidences. Sans tabou, elle a confié avoir eu recours à des IVG, des IMG, fait plusieurs fausses couches et rappelle avec force que chaque femme est maître de son corps.
Alors que l’artiste a annoncé en mars dernier être enceinte de son deuxième enfant à l’âge de 39 ans, 20 ans après la naissance de fils, Marlowe Jack Tiger Mitchell, dans cette publication repérée par Madame Figaro, la fille cadette de Jane Birkin a d’abord rendu hommage à toutes les femmes.
«A toutes les mères, les mères d’elle-même, les mères adoptives, les belles-mères, les mères de leurs ami.e.es, les mères de leurs mères, les mères qui ne le sont pas devenues, les mères qui ont perdu leur/s enfant/s. A toutes les femmes qui portent le monde comme leur enfant, à toutes celles qui maternent cette planète. (…) Je vous aime», a ainsi écrit l’artiste, revenant également sur ce que lui évoque le corps de la femme : «un corps qui parfois nous fait défaut, parfois nous trahi souvent nous fait mal à cause de nos règles, de nos crampes, de la ménopause, à ce corps incroyable qui aussi nous donne du plaisir».
«Votre corps, votre choix»
Un corps dont surtout chaque femme est le seul maître à bord, martèle ensuite la demi-sœur de Charlotte Gainsbourg. «C’est votre corps, c’est votre choix», poursuit-elle avant d’évoquer une page personnelle de son histoire, confiant à cœur ouvert les décisions qu’elle a prises.
«A 19 je suis devenue mère, j’ai eu des IVG, des IMG, des fausses couches», explique Lou Doillon, partageant également les drames et les joies qu’elle a vécu depuis un an.
«L’année dernière pour la fête des mères, j’étais au lit souffrant à nouveau d’une fausse couche, et à 39 ans je suis enceinte de nouveau. C’est une aventure d’être femme, d’avoir un corps de femme. C’est une douleur, c’est une joie, c’est à moi. C’est mon choix», a insisté une fois encore Lou Doillon, avant de conclure «Mon corps, mon choix». Le message est passé.