Fervent opposant à la vaccination contre le Covid-19, le célèbre guitariste britannique Éric Clapton a affirmé dans une interview que ceux qui acceptaient de se faire vacciner étaient victimes d’une «hypnose de masse».
Les populations seraient quotidiennement soumises à des «publicités subliminales» de leurs dirigeants et de l’industrie pharmaceutique pour les pousser à accepter la vaccination contre le coronavirus. C’est ce qu’a affirmé Éric Clapton dans une interview publiée sur la chaîne YouTube «The Real Music Observer» la semaine dernière.
«J’ai commencé à réaliser qu’il y avait vraiment un mémo, et un gars, Mattias Desmet, en a parlé, de la théorie d’hypnose de masse. Et c’est vrai, j’ai commencé à la chercher, et je l’ai vue partout», a déclaré le musicien.
Mattias Desmet, professeur de psychologie à l’Université de Gand en Belgique, a popularisé cette théorie du contrôle mental, rappelle le HuffPost, qui permettrait aux gouvernements de mieux contrôler et manipuler leurs populations pour les soumettre aux restrictions sanitaires et aux vaccins. Une théorie infondée et conspirationniste populaire dans ses sphères antivax.
Éric Clapton a également critiqué les médias britanniques, notamment la BBC, pour ne pas avoir rendu compte, selon lui, de la crise sanitaire de manière factuelle, mais d’avoir servi d’outil de propagande pour les vaccins et le respect des mesures sanitaires. En août dernier, le guitariste avait même dévoilé un morceau dans lequel il exprimait son ras-le-bol vis-à-vis de la pandémie, «Il faut que ça s’arrête».
Une crainte et un rejet des vaccins qui lui vient, selon ses dires, des effets secondaires provoqués par les injections du sérum d’AstraZeneca qu’il a reçues, qui lui aurait provoqué une «neuropathie périphérique», lui provoquant des vives douleurs l’empêchant de jouer de la guitare. Une maladie qui a pourtant été diagnostiquée chez lui il y a environ cinq ans, et dont il a parlé à plusieurs reprises aux médias britanniques, et qui n’a donc pas été déclenchée par le vaccin contre le Covid-19.