Elle a frôlé la mort. Dans la série documentaire «Dancing with the devil» diffusée sur YouTube, Demi Lovato dévoile l’incroyable liste de drogues ingérées au moment de son overdose en juillet 2018.
Après 6 années de sobriété, Demi Lovato explique avoir replongé dans l’usage de drogues de manière totalement disproportionné au moment de sa rechute. La chanteuse révèle avoir mélangé plusieurs substances illicites, ensemble, notamment des méthamphétamines, de la MDMA, de la cocaïne, de la marijuana, de l’alcool, et de l’oxycontin (un antalgique puissant, ndlr). «Rien que ça aurait dû me tuer», confesse-t-elle.
Quelques semaines plus tard, Demi Lovato avoue avoir «fumé» de l’héroïne (qu’elle reconnaît s’être déjà injectée avec une seringue par le passé), une drogue fournie par son dealer qui n’avait pas, au moment de sa rencontre avec lui, sa commande habituelle composée de cocaïne et de Xanax. Elle accompagnera l’héroïne avec du fentanyl, un analgésique opioïde 100 fois plus puissant que la morphine. C’est ce mélange qui provoquera, le 24 juillet 2018, son overdose. Elle finira toutefois par se réveiller à l’hôpital après être passée à quelques minutes de la mort.
La chanteuse reconnaît avoir développé une dépendance physique aux drogues et à l’alcool, tout en le cachant à ses proches. Ces derniers apportent par ailleurs leur témoignage sur la dépendance de Demi Lovato, et la manière dont elle a été sauvée par les docteurs suite à son overdose, dans cette série documentaire en 4 parties dont les deux premiers épisodes sont accessibles sur YouTube depuis le 23 mars.