Le phénomène Nabilla n'est pas près de s'éteindre. La star des Anges de la Téléréalité, à chacun de ses gestes, défraie la chronique. Il faut dire que depuis son célèbre "Allo ?", la belle est experte en phrases cultes dont voici une sélection.
"Le Qatar, c'est un K"
Les règles du Petit Bac, sont déjà assez compliquées. Si en plus elles se doublent de pièges orthographiques, ce jeu devient un véritable pensum. Nabilla a pourtant tenté sa chance, mais la géographie du Moyen-Orient lui fut fatale. Elle voudrait croire que "ça s'écrit des deux manières, mais non : Qatar ne s'écrit pas avec un K (à partir de 07'50'' sur la vidéo)
"Je ne sais pas si j'ai couché avec lui. (...) J'étais trop bourrée en fait"
Ce qu'il y a de touchant chez Nabilla, c'est sa spontanéité et sa capacité à évoquer candidement les aspects les plus intimes de sa vie "privée". Coup double chez Morandini, dans "Vous êtes en direct", où la jeune femme évoque à la fois ses galipettes incertaines avec Chris Brown et son alcoolémie prononcée (voir la vidéo ci-dessous à 19'20'').
"Va falloir mettre du piment dans les épinards"
Nabilla pourrait bien donner un grand coup de balai dans le champ poussiéreux des dictons populaires. Fini le ringard "mettre du beurre dans les épinards", Nabilla préfère la harissa et préconise dans la Boîte à questions du Grand Journal de mettre "du piment dans les épinards". Une suggestion qu'elle adresse à François Hollande dont elle juge la politique trop molle.
"Les aigles ne volent pas avec les pigeons"
On pourrait croire qu'il s'agit là d'une belle "nabillade", mais non. La jolie brune n'est pas à l'origine de cette sentence qui semble droite sortie de son cortex ou de celui de Jean-Claude Van Damme : elle l'a en fait empruntée à un autre auteur également très cérébral : le rappeur Booba, qui osait cette métaphore dans "Rats des villes". Une sortie tellement puissante qu'elle a été reprise dans le teaser des Anges (à 00:50'')
"La guerre mondiale de 78"
C'est ce que l'on rappelle un raccourci chronologique. Pour décrire une situation d'extrême tension entre plusieurs "anges" de l'émission-culte de NRJ12, Nabilla a tenté une métaphore guerrière. Mais dans son empressement, la bimbo a compressé deux conflits en un seul : la guerre de 1870 et la guerre de 1914-1918.
"Je suis une serviette, c'est un torchon la fille"
Manifestement, Nabilla n'était pas contente du tout. Et pour exprimer sa colère, elle n'a pas hésité à maltraiter (encore) une vieille expression française dans laquelle il est question de ne pas mélanger des serviettes et des torchons. L'occasion également de gratifier le téléspectateurs d'une courte rafale de deux magnifiques "Allo".
"Allo, t'es une fille t'as pas shampoing"
C'est LA phrase qui rendu célêbre Nabilla, en inondant les réseaux sociaux. Reprise, parodiée, déformée, cette magnifique sortie fait désormais du patrimoine médiatique francophone. A telle enseigne que Nabilla, qui semble avoir un sens des affaires bien intégré, n'a pas oublié de la déposer à l'INPI.