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Taureau de bronze, supplice du rat… Les méthodes d'exécution les plus cruelles de l'Histoire

En 1780, Louis XVI décide de mettre un terme aux «événements préparatoires» des mises à mort. Une décision souvent considérée comme la fin de la torture en France. [© Pixabay]

Au cours de l'Histoire, d'innombrables méthodes de torture et d'éxécution ont été élaborées. En voici 7 parmi les plus cruelles jamais mises au point par l'homme.

 Le taureau de bronze

Aussi appelé taureau d'Arain, cette méthode avait été inventée par un sculpteur grec appelé Perillos d'Athènes. Le fonctionnement en a été détaillé par l'historien Polybe, qui a probablement assisté de ses yeux à une mort causée par le taureau : « Quant au taureau de bronze que Phalaris avait fait construire à Agrigente et dans lequel il faisait monter les gens pour infliger à ses sujets en allumant le feu au-dessous le supplice que voici : le bronze s'échauffait et l'individu, grillé et brulé de tous côtés, périssait, et, dans l'excès de la souffrance, ses cris, semblables à un mugissement sortant de l'engin venait frapper les auditeurs.»

le supplice de la croix

Méthode très fréquente de mise à mort, la crucifixion - ou crucifiement - a été adpotée par de nombreuses civilisations (Perses, Romains, Carthaginois, etc.), pendant de nombreux siècles.

Le condamné était lié ou cloué à une croix en bois dont la traverse verticale était ensuite reliée à un poteau vertical. Cette torture a largement inspiré les artistes.

l'ebouillantage

D'après les historiens, cette méthode d'exécution était la préférée de l'Empereur Néron. Les victimes étaient soit plongées directement dans de l'eau bouillante, soit on leur versait cette eau sur le corps.

Cela ne causait pas une mort immédiate, les condamnés ayant le temps de sentir leur peau se détruire par les brûlures causées par l'eau. Finalement, c'est l'arrêt de fonctionnement des organes vitaux à cause de la chaleur qui causait la mort.

La roue

Réservée aux éxécutions publiques, la «roue brisante» avait pour but de mutiler gravement la victime et non de la tuer rapidement. On commençait par briser de nombreux os du condamné, jusqu'à ce que ses talons puissent rejoindre l'arrière de sa tête. Une fois cette position atteinte, le boureau fixait sa victime sur la roue et la plaçait au sommet d'un poteau. Le condamné était saigné à mort voire dévoré par les oiseaux.

L'Empalement

L'empalement consistait à planter une tige de bois dans le thorax d'une victime suspendue en l'air. La gravité terrestre opérant, la victime se rapprochait progressivement du sol. Se faisant, la tige s'enfonçait inlassablement dans son corps. Une mort extrêmement lente et douloureuse.

la Condamnation aux bêtes

Très apprécié des spectateurs, ce processus de mise à mort livrait un condamné à des prédateurs (lions, tigres, léopards, etc). Simple et «divertissant» pour les foules, il était reservé aux pires criminels (meurtriers, esclaves fugitifs).

La torture des rats

La victime était allongée et un seau contenant un rat affamé était placé sur son ventre. On chauffait l'extremité du seau pour paniquer l'animal, qui n'avait plus d'autre choix que de se frayer un chemin en grignottant le corps de la victime.

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