Les députés puis les sénateurs ont adopté mercredi à la quasi-unanimité la prolongation des frappes aériennes en Syrie, décidées début septembre par le président François Hollande et intensifiées depuis les attentats de Paris.
Les députés ont voté (515 voix pour, quatre contre et dix abstentions) "la prolongation de l’engagement des forces aériennes au-dessus du territoire syrien", comme le veut la Constitution lorsque la durée d'une intervention militaire excède quatre mois.