Le Japon était hier sous le choc, après la diffusion la veille d’une vidéo montrant l’un de ses ressortissants exécuté par des militants de Daesh.
"Nous avons examiné attentivement ces images et des analyses se poursuivent, mais nous ne pouvons hélas que penser que leur crédibilité est élevée", a déclaré dimanche le Premier ministre japonais Shinzo Abe, qui a une nouvelle fois exigé que soit relâché l’otage restant, le journaliste Kenji Goto, probablement capturé par Daesh en octobre.
Dans la vidéo, le groupe jihadiste a exigé pour sa part la libération de Sajida Rishawi, une kamikaze irakienne condamnée à mort en Jordanie pour des attentats perpétrés en 2005.