Les frappes menées mardi par une coalition conduite par les États-unis sur le nord et l'est de la Syrie ont causé la mort d'au moins 120 jihadistes et fait 300 blessés, selon une ONG
Parmi les morts, figurent 70 membres de l'organisation extrémiste Etat islamique (EI) et 50 appartenant à al-Qaïda.
En outre, les frappes ont fait 300 blessés dans les rangs de l'EI, dont 100 grièvement atteints transférés en Irak, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).