L’Amour est dans le pré a continué son petit bonhomme de chemin en tête des audiences hier en réunissant pas moins de 5,9 millions de téléspectateurs. Retour sur un deuxième épisode dans lequel Sophie, Nicolas, Jean-Louis et Philippe ont fait le choix de leurs prétendantes avant de les inviter à la ferme.
©Pierre-Olivier/M6
Sophie, 29 ans, éleveuse de vaches allaitantes dans la Loire
Elle est timide Sophie, tout le monde était prévenu. Cela n’a pas empêché quelques prétendants souffrant du même mal de tenter leur chance, créant une situation particulièrement inconfortable où le silence devient assourdissant (ceci est bel et bien un oxymore).
Heureusement, deux célibataires se distinguent, Sylvain, commercial de profession, et Matthieu, un grand et beau, et sportif, jeune homme qui devient vite le coup de cœur de l’agricultrice. Les deux sont conviés à la rejoindre à la ferme.
Et là, pan ! Première déception. Matthieu, retenu par son travail, ne pourra venir que le lendemain soir. Cela laisse le temps à Sylvain de gagner des points en l’absence de son rival (option A), ou de se tirer une balle dans le pied (option B) en ne sachant pas s’y prendre avec la jeune femme.
Sympathique, travailleur, attentif, Sylvain a opté pour l’option A. Grand bien lui fasse. Car Matthieu s’annonce comme un sérieux concurrent.
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Nicolas, 34 ans, éleveur de vaches laitières dans le Morbihan
Nicolas et ses beaux yeux bleus lui ont valu un sacré succès. Ses prétendantes étaient charmantes. Le choix était difficile. Sauf concernant Karine, une jeune femme originaire d’Alsace pour laquelle il avoue avoir eu un coup de coeur.
Pour la deuxième, son premier choix s’est porté sur Christelle, une femme qu’il qualifie lui-même de «rigolote», qui aime profondément la Bretagne, qui est d’accord avec à peu près tout ce qu’il dit, et qui rigole à toutes ses blagues. Mais on apprend par la voix-off qu’elle s’est finalement désistée, et qu’elle sera remplacée par Pauline.
Un point essentiel concernant Pauline : elle est de Rennes, donc bretonne. Pour couronner le tout, elle est la première arrivée, et Nicolas la met au travail dans la minute qui suit (et elle de faire preuve d’une vraie dextérité avec les pis de vaches).
Nicolas lui offre même une explication un peu gênée sur «le pourquoi du comment» il ne l’a pas choisi lors du speed-dating mais que, finalement, il est très content que Christelle, alias «la rigolote» (elle a dû apprécier, surtout quand il assure que, de toute façon, il allait rapidement la renvoyer chez elle), se soit désistée.
Quand Karine arrive enfin, elle ne peut que remarquer la complicité qui s’est installée entre ces deux là qui n’arrêtent pas de parler de la Bretagne, des jolis coins qu’ils connaissent, etc. Karine était la grande favorite. La voilà face à une adversaire de taille.
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Jean-Louis, 51 ans, éleveur de brebis dans les Hautes-Alpes
Jean-Louis a beaucoup aimé le speed-dating. Calme et posé, il a su mettre en confiance ses prétendantes avant de sélectionner Abigaëlle, une bretonne très (mais alors très, trop peu être) proche de la nature, et Cathy, une femme charmante aux yeux clairs.
Cette dernière est la première sur place. Et ça commence fort quand ils prennent la direction du supermarché pour aller faire des courses. Il lui demande ce qu’elle veut faire à manger (aïe !), rempli le chariot de boîtes de conserve... avant de découvrir, une fois de retour à la maison, qu'il n'est pas équipé de cet outil fort utile qu'est l'ouvre-boîte.
Mais le grand point d’interrogation concerne Abigaëlle. Après une conversation passionnée en voiture avec l’agriculteur sur son lieu de vie qui respire la nature, l’authenticité, et la joie de vivre (Cathy pendant ce temps là n’a pas bronché), la voilà prête à passer à table.
«Je ne mange pas ça, ça va me rendre malade !» lance Abigaëlle avec une expression de dégoût sur son visage en voyant le cassoulet en boîte frémir dans la casserole. On apprend que, chez elle, elle fait tout elle-même (son pain par exemple).
L’ambiance entre ces trois là pourrait vite tourner au vinaigre.
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Philippe, 46 ans, viticulteur en Charente-Maritime
Passionné de country, Jean-Philippe est ravi de rencontrer ses deux prétendantes Claudia et Jackie qu’il invite chez lui.
A la gare, Jackie, son coup de cœur (elle est fan de danse country comme lui), est accueillie par un Philippe déguisé en cowboy. Elle lui explique qu’elle est exténuée, que son voyage dure depuis 4h du matin, bref, qu'elle est vidée par son interminable périple depuis la Corse.
Le problème, c’est que Philippe est tellement heureux de sa présence qu’il lui propose en premier lieu… d’aller faire des courses en attendant Claudia qui arrivera bientôt, peut-être, il ne sait pas, car il n’a pas encore eu de «news».
Autre problème, Philippe a l’habitude de manger tous les jours, tous ses repas, avec papa et maman. Il n’a pas du tout l’habitude de faire des courses. Et ça, Jackie s’en rend vite compte. Elle découvre aussi son côté étourdi (qui semble l’irriter un peu quand même).
«Il faut que je mange moins le soir, plus léger» lance-t-il à Jackie tout en achetant de quoi faire une raclette. Une fois à la maison, Philippe décide de se changer, et laisse sa prétendante vider entièrement le coffre rempli de courses. Petit rappel : plusieurs heures auparavant, Jackie expliquait qu’elle était exténuée par son voyage.
Cerise sur le gâteau, on découvre que Claudia ne viendra pas finalement. Jackie va-t-elle supporter de rester seule avec Philippe ? La nuit porte conseil.