Les entreprises sont-elles suffisamment innovantes pour assurer la sécurité de leur site, de leur personnel et de leur client de manière efficace ? Vidéosurveillance, contrôle d’accès, gestion des bâtiments… Et si la solution se trouvait dans l’installation d’une solution d’Hypervision : une plateforme pour fédérer et piloter tous les systèmes depuis une seule interface.
Retrouvez ci-dessous un entretien avec David Fiorina, Directeur Business Development de Prysm Software.
Créée en 1996, PRYSM Software est une PME française qui a rejoint le groupe VITAPROTECH en 2018 et qui commercialise un logiciel d’Hypervision : AppVision™. En effet, les entreprises ont bien souvent des systèmes de sécurité de différentes marques qui ne communiquent pas entre eux. Le logiciel de PRYSM Software permet, quant à lui, de fédérer les systèmes de sécurité et de les piloter sur une interface unique. Cela permet, en cas de crise, d’être beaucoup plus réactif et efficace mais aussi d’augmenter la polyvalence des opérateurs, d’automatiser un certain nombre de processus et donc, de réduire le nombre d’opérations. Le but, pour les entreprises, est d’avoir le juste investissement pour le meilleur niveau d’efficacité. Aujourd’hui, investir dans la sécurité, c’est protéger ses collaborateurs, ses outils, ses actifs… mais c’est aussi un gage de confiance auprès de ses clients et/ou de ses partenaires. Et les entreprises l’ont bien compris.
Le business modèle de PRYSM Software est lié à leur philosophie. Depuis le premier jour, ils souhaitent donner la possibilité à leurs clients intégrateurs de répondre à toutes les exigences fonctionnelles des utilisateurs finaux : entreprises et villes. Ils ont donc construit une plateforme complètement ouverte et personnalisable pour s’adapter aux besoins de l’utilisateur final. De ce fait, leur business model repose sur la vente des licences et sur les transferts de compétences via leur formation et un peu de support spécifique.
Les prochains défis à relever de PRYSM sont tout d’abord technologiques. En effet, il y a sans cesse des nouvelles technologies que PRYSM Software doit s’approprier comme l’Intelligence Artificielle ou encore le Cloud. Le deuxième défi à relever est l’internationalisation. Bien qu’il y ait déjà un tier du chiffre d’affaires à l’international, le but est, d’ici 3 ou 4 ans, de faire en sorte que l’international représente plus de 50 % du chiffre d’affaires. Enfin, le dernier défi est un plan de transformation de l’entreprise afin de garantir une efficacité opérationnelle.
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