Nouveau rebondissement dans l'affaire du viol d'un matelas gonflable qui avait défrayé la chronique judicaire américaine au début de l'été. Le principal suspect a plaidé coupable mardi. Il risque jusqu'à un an de prison.
Les faits remontent au 27 juin dernier. Ce jour-là, Edwin Charles Tobergta, un habitant de la ville d'Hamilton (Ohio), sort de chez lui, complètement nu, et entreprend un rapport sexuel... avec un radeau flottant pour piscine. Aussi surprenant que soit ce tropisme sexuel, il n'aurait guère eu de conséquences judiciaires, s'il n'avait été assouvi sous le regard de plusieurs d'enfants qui ont pu observer "ses parties génitales" comme le note le rapport de police reproduit par The Smoking Gun.
Alertée, la police locale n'a pas tardé à interpeller cet amateur de plaisirs atypiques et l'a tout aussi rapidement incarcéré. L'homme n'en était pas à son coup d'essai. A plusieurs reprises déjà, il avait été l'auteur d'attentats à la pudeur. Ainsi, en août 2011, il avait été surpris en train de faire subir les derniers outrages à un malheureux matelas gonflable rose au beau milieu d'une ruelle d'Hamilton.
Depuis sa dernière interpellation, Edwin Charles Tobergta est toujours en prison. L'homme a reconnu traverser des problèmes et demandé de l'aide, mais il doit cependant répondre de faits sanctionnés par le loi, en l'occurence d'atteinte à la pudeur. Après avoir plaidé coupable mardi, il doit maintenant attendre un jugement qui doit survenir un novembre.
Aucune précision n'a été apportée au sujet de l'énigmatique mode opératoire d'Edwin Charles Tobergta.
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