Depuis le 15 juillet, la ville de Caen œuvre pour nettoyer les 2,4 kilomètres de déclarations d'amour d’un épris tagueur.
Environ une trentaine de tags recouvrent le mobilier urbain de trois boulevards et avenue de la rive droite à Caen en Normandie selon Ouest France.
Façades d’immeubles et de commerces, bancs publics, panneaux d’affichage abris de bus, poteaux de signalisation, conteneurs et le socle d'un calvaire ont été pris comme support dans la nuit du 14 au 15 juillet par cette personne voulant déclarer sa flamme à une certaine Manon.
« Ma vie n’est rien sans toi » et autres « Je t’aime » ont fleuri, mais le service de « dégraffitage » de la ville œuvre pour effacer les traces de cette déclaration d’amour urbaine.