En direct
A suivre

Pour Laurent Wauquiez, «le plus grand danger et la plus grande menace» pour le pays, «c’est Jean-Luc Mélenchon et LFI»

Pour Laurent Wauquiez, Jean-Luc Mélenchon et ses Insoumis ont «rompu avec les valeurs de la République».  [Sarah MEYSSONNIER/REUTERS]

Lors d'une rencontre avec le nouveau secrétaire d'État chargé de la Citoyenneté, Othman Nasrou, ce mardi 24 septembre, Laurent Wauquiez s’est dit déterminé à «arrêter Jean-Luc Mélenchon et La France insoumise».

Quelques jours après avoir refusé le ministère de l’Economie, Laurent Wauquiez est revenu pour la première fois sur la composition du nouveau gouvernement de Michel Barnier. Il en a surtout profité pour fustiger ses opposants de La France Insoumise.  

Lors d’une rencontre avec le nouveau secrétaire d'État chargé de la Citoyenneté, Othman Nasrou, ce mardi 24 septembre, le chef de file des LR à l'Assemblée nationale a ainsi déclaré que son groupe politique et lui-même étaient déterminés à «arrêter Jean-Luc Mélenchon et La France insoumise», estimant qu’il s’agissait du «plus grand danger et de la plus grande menace» pour le pays aujourd’hui. 

Ce n’est pas la première que Laurent Wauquiez  prend position au sujet du parti d’extrême gauche. Lors de sa rentrée politique le 25 août dernier au Mont Mézenc (Haute-Loire), l’élu avait déjà estimé que LFI était «sans doute le plus grand danger politique pour notre pays», promettant de lui «faire barrage».  

Le nouveau gouvernement est une «une chance» 

Pour Laurent Wauquiez, Jean-Luc Mélenchon et ses Insoumis ont «rompu avec les valeurs de la République». 

Outre ses attaques à l’encontre de ses opposants, l'élu de Haute-Loire a confié être «heureux» de l’arrivée de Michel Barnier à Matignon puis est revenu sur son refus d'entrer au gouvernement.

«Depuis le début, j'ai dit qu'entrer au gouvernement n'était pas mon obsession. J'avais dit que j'irais uniquement si je pouvais être utile au ministère de l'Intérieur», avait-il indiqué. 

Le député de Haute-Loire avait toutefois réitéré son appui sur X au gouvernement. «Chacun doit bien mesurer la difficulté de la mission du Premier ministre», avait-il écrit. «Dans un pays fracturé et miné par l’impuissance, nous avons tous besoin qu’il réussisse. Il peut compter sur mon soutien et sur celui des députés de la Droite républicaine». 

À suivre aussi

Ailleurs sur le web

Dernières actualités