"Ni RN ni LFI": le front républicain doit battre le RN sans compromission avec LFI
Fidèle à ses engagements historiques, le Crif appelle les Français à se mobiliser pour empêcher l'arrivée au pouvoir du Rassemblement National en votant massivement pour les candidats de partis…
— CRIF (@Le_CRIF) July 2, 2024
Répondant à l’appel de nombreux soutiens après l’annonce de mon retrait et face aux alliances contre-nature qui se nouent, je maintiens ma candidature !
La France est au bord du gouffre ! Il faut que nos concitoyens puissent s’exprimer démocratiquement ! #legislative2024
— Gilles_Bourdouleix2024 (@Bourdouleix2024) July 2, 2024
Invitée sur le plateau du Journal de 20 heures de TF1, Marine Tondelier a invité les électeurs de gauche réticents à voter pour des candidats du parti Ensemble afin de contrer le Rassemblement National, à quelques jours des élections législatives : «Nous vivons une situation politique qui est inédite. On a un risque que le pays soit ingouvernable. Le sujet est de savoir comment nous pouvons trouver des solutions à des circonstances inédites. Il faudra sûrement faire des choses que personne n'a fait auparavant dans ce pays, mais cela doit se faire sur des bases politiques claires».
Le dépôt de candidatures pour le second tour des élections législatives anticipées a pris fin ce mardi à 18 heures. Plus de 210 désistements ont été enregistrés.
J’ai eu l’espoir jusqu’à maintenant que le candidat arrivé en seconde position m’appelle.
Qui a pu avoir un instant le doute que nous n’étions pas républicains ?
Pour nos militants, nos électeurs et la France, avec @ph_sorez nous retirons notre candidature.
— Patricia Miralles (@MIRALLESMP) July 2, 2024
Je suis bien placer pour comprendre et savoir la place du racisme dans notre pays.
C’est les memes qui ont le seum quand on brille car on a pas finis de briller.
Et oui je suis discrete sur ces sujets, desfois on se sent pas pertinents et assez légitime pour parler et dire les…
— Aya Nakamura (@AyaNakamuraa) July 2, 2024
Je me rends à l’@Elysee pour évoquer avec @EmmanuelMacron les conséquences de cette dissolution brutale et le fonctionnement des institutions pour l’avenir. Pour éviter toute interprétation : j’ai accepté cette invitation comme Président du Senat, non comme responsable politique.
— Gérard Larcher (@gerard_larcher) July 2, 2024
L'Elysée a appelé mardi la leader du Rassemblement national Marine Le Pen à faire preuve de «sang froid» et de «mesure» après sa mise en garde contre un supposé «coup d'Etat administratif» du camp macroniste via une vague de nominations avant une éventuelle cohabitation. «Il y a depuis 66 ans chaque semaine des nominations et des mouvements, notamment l’été, indépendamment des moments politiques traversés par nos institutions, et il n'est aucunement prévu qu’une de ces dispositions puisse changer dans les prochains mois», a déclaré la présidence de la République dans une mise au point.
C’est sérieux ça ?
D’un côté je continue d’être insulté.
De l’autre, je suis utilisé.
Jusqu’où sont-ils capables d’aller ?
Tout mon soutien à @S_Bourouaha et à tous les députés sortants de gauche et écologistes encore présents au second tour. pic.twitter.com/JTmKBYLN4q
— Fabien Roussel (@Fabien_Roussel) July 2, 2024
Deux cents candidats qualifiés pour le second tour des législatives, presque tous de gauche ou macronistes, s'étaient déjà désistés mardi après-midi, dans la plupart des cas afin d'empêcher une triangulaire et de contrer le Rassemblement national, selon un décompte provisoire de l'AFP.
Cette liste peut encore évoluer jusqu'à 18h00, limite fixée pour le dépôt des candidatures du second tour, le 7 juillet. A ce stade, 118 membres du Nouveau Front populaire de gauche ont choisi de se désister, ainsi que 78 de la coalition centriste Ensemble pour la République, trois rattachés au parti de droite Les Républicains et une ultramarine sans étiquette.
L'ancienne ministre de l'Ecologie Dominique Voynet, candidate du Nouveau front populaire, se retrouve en position favorable dans le duel qui l'opposera dimanche au candidat du RN dans la 2e circonscription du Doubs, après l'annonce ce mardi du retrait du candidat de la majorité présidentielle.
Au premier tour des législatives, Dominique Voynet (EELV) est arrivée en tête avec 34,16% des voix devant le RN Eric Fusis (30,12%) et celui d'Ensemble Benoît Vuillemin (26,79%). Le candidat LR, qui ne s'est pas qualifié pour le second tour, a enregistré 7,52% des voix.
Veuillez trouver ci-joint mon communiqué à la suite des résultats du premier tour des #Legislatives2024 dans la deuxième circonscription de Paris. pic.twitter.com/cDIgo59Lm1
— Gilles Le Gendre (@GillesLeGendre) July 2, 2024
Philippe Ballard critique la candidature de François Hollande aux élections législatives dans #MidiNews pic.twitter.com/b4HhYs2tjK
— CNEWS (@CNEWS) July 2, 2024
Élections législatives 2024 : faut-il un débat entre Jean-Luc Mélenchon et Jordan Bardella ? https://t.co/PmTZry8eq2
— CNEWS (@CNEWS) July 2, 2024
La candidate Rassemblement national (RN) dans la seconde circonscription de Haute-Corse, qui était arrivée en troisième position au premier tour des législatives anticipées, se désiste et appelle à voter au second tour pour le candidat divers droite, a annoncé le RN dans un communiqué.
«Le bureau des instances de la Corse du RN, après consultation du bureau exécutif national, devant l'appel du Nouveau Front populaire et du président de l'exécutif de Corse à faire barrage aux candidats du RN (...), décide de retirer la candidature de Mme Sylvie Fernandez, épouse Jouart, et de soutenir le candidat divers droite, M. François-Xavier Ceccoli», a précisé le RN dans ce communiqué obtenu mardi par l'AFP.
La candidate macroniste dans la seconde circonscription des Alpes-de-Haute-Provence a annoncé ce mardi qu'elle se retirait, mais sans donner de consigne de vote, pour un second tour qui opposera le député LFI sortant, Léo Walter, et Sophie Vaginay-Ricourt, ex-LR investie sous la bannière RN.
«C'est officiel, nous retirons» la candidature, a indiqué à l'AFP Christiane Hoang, la suppléante de Dominique Blanc qui était arrivée troisième dimanche avec 22,69% des voix dans ce département rural, se qualifiant donc pour une triangulaire.
Ma déclaration quant à la situation des élections législatives dans la 10ème circonscription de Haute-Garonne.
En responsabilité, je retire ma candidature pic.twitter.com/atTwrbAhYg
— Dominique Faure (@FaureDominique) July 2, 2024
Une intersyndicale composée de la CFDT, CGT, Unsa, FSU et Solidaires, jugeant le résultat du premier tour des législatives «inquiétant», appelle mardi «à faire barrage à l'extrême droite» en votant dimanche «pour les candidates et candidats les mieux placés pour battre l'extrême droite».
«Le résultat (du premier tour) est une alerte inquiétante. Mais rien n'est joué. Les organisations syndicales CFDT, CGT, UNSA, FSU et Solidaires appellent à un sursaut démocratique, social et républicain dans les urnes dimanche 7 juillet», écrivent-ils dans un communiqué commun.
La fête des Jeux olympiques, qui démarrent le 26 juillet, ne «va pas être gâchée», «ville de résistance à l'extrême droite», a assuré ce mardi sur France 2 la maire PS de Paris Anne Hidalgo face à la perspective d'accession au pouvoir du RN.
«Nous avons passé neuf députés de gauche au premier tour à Paris» dimanche, a souligné la maire de Paris. «C'est cette ville-là, éprise de liberté, c'est une maire libre que je suis qui va accueillir les Jeux», a-t-elle ajouté.
Manuel Bompard, candidat NFP réélu au 1er tour des élections législatives dans les Bouches-du-Rhône, a évoqué les attaques de Jordan Bardella sur le programme du NFP lors de son entretien ce mardi matin sur RMC. «Avant de vouloir être Premier ministre, Monsieur Bardella devrait commencer par apprendre à lire» a d'abord répondu Manuel Bompard.
«Personne n'a jamais dit que nous allions libérer 20% des détenus, il n'y a aucune proposition dans notre programme sur ce sujet. Bref, il dit juste n'importe quoi», a continué le député.
«Emmanuel Macron met le cap à gauche ?» : l'édito de @PascalPraud dans #HDPros pic.twitter.com/KpWKL3KR31
— CNEWS (@CNEWS) July 2, 2024
Lors de son entretien sur France 2 ce mardi, Clément Beaune, candidat Ensemble aux élections législatives battu au 1er tour, a évoqué la montée du Rassemblement national. «La responsabilité de la montée du RN est aussi là, quand on voit les images de Jean-Luc Mélenchon» a-t-il affirmé en faisant allusion à la présence de Rima Hassan au côté de l'ancien député LFI lors de son discours dimanche soir.
Clément Beaune a continué en expliquant qu'il faut «d'abord écarter le risque RN», avant de «reconstruire, avec des républicains, et Jean-Luc Mélenchon n'en fait pas partie».
Marine Le Pen, députée RN réélue dès le 1er tour des élections législatives, est revenue sur les consignes de vote et les désistements de certains candidats lors de son entretien sur France Inter ce mardi matin. «Le désistement et les consignes de vote sont le pire des mépris à l'égard des électeurs», a-t-elle déclaré.
«Je considère que mes électeurs sont intelligents et qu'ils sont libres», a-t-elle ajouté.
Eric Ciotti : «J'ai vu l'évolution du RN, on ne peut pas lui faire un procès sur des comportements qui datent d'un autre siècle» #LaGrandeInterview pic.twitter.com/yZMc3VNNa4
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Eric Ciotti : «Je crois que ce barrage va provoquer une prise de conscience dans le pays» #LaGrandeInterview pic.twitter.com/JHWHzpLfxU
— CNEWS (@CNEWS) July 2, 2024
«Ce barrage républicain, c'est du flan», selon l'eurodéputé RN Matthieu Valet, qui espère une lourde défaite du camp présidentiel au second tour des législatives #LaMatinale pic.twitter.com/0nbbilgqKM
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Invité sur France Inter ce mardi matin, François Ruffin, député NFP sortant de la 1ère circoncscription de la Somme, est revenu sur les objectifs de la NFP avant le second tour des élections législatives. «On a un objectif : pas de majorité absolue pour le Rassemblement national», a-t-il d'abord expliqué.
Il a ajouté que «le Président de la République avait brutalisé ce pays ces dernières années», avant d'interroger : «Est-ce qu'à une brutalité, va s'ajouter une autre brutalité ?» en évoquant le Rassemblement national.
Xavier Bertrand, président LR de la Région Hauts-de-France, est revenu sur la composition de l'Assemblée nationale à la suite des élections législatives lors de son entretien sur RTL ce mardi matin. «On n'est pas en voie d'effacement, nous aurons un groupe important» a-t-il assuré.
Quant au nombre exact de députés LR qui composeront l'Assemblée nationale, Xavier Bertrand a affirmé que «ce sont les électeurs qui décideront, mais certainement beaucoup plus qu'une quarantaine».
Élections législatives 2024 : les 5 dates-clés de l'entre-deux-tours https://t.co/3p4CXNruBw
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La France connaîtra ce mardi soir les affiches du deuxième tour des législatives de dimanche, après une vague de désistements des candidats de droite et de gauche, déterminés à empêcher l'arrivée de l'extrême droite au pouvoir, mais toujours très divisés.
