«Au départ il y a eu la peur, puis la colère. Aujourd'hui, il y a la révolte et la nausée (...) La violence gratuite et impunie, c'est la fin de la démocratie et le début de la barbarie, nous n'en sommes hélas pas loin», déplore Laurence Ferrari après la mort violente du jeune Matisse, dans son édito de l'émisson Punchline, ce lundi sur CNEWS.
Laurence Ferrari : «La violence gratuite et impunie, c'est la fin de la démocratie et le début de la barbarie. Nous n'en sommes, hélas, pas loin»
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