Ce mardi 23 janvier, Emmanuel Macron doit exprimer ses vœux aux acteurs des Jeux olympiques et paralympiques, à moins de six mois d’un événement international sur lequel la France fonde beaucoup d’espoirs.
Un message de détermination. Alors que le 26 juillet, date du début des Jeux olympiques, approche à grand pas, Emmanuel Macron effectue ce mardi 23 janvier ses vœux aux «acteurs» qui travaillent pour organiser l’événement.
Ainsi, le chef de l’État prendra la parole depuis l’Insep, «la terre des champions de l’Etat», où sont formés des jeunes sportifs français dans un contexte professionnalisant. Il s’exprimera devant plus de 1.000 invités, autant des sportifs de haut niveau, que des membres de ministères impliqués, d’entreprises, d’ouvriers, ou encore de collégiens, conviés à cette occasion.
A cette occasion, le président de la République rencontrera également l’équipe de France féminine de Judo.
Un message d’encouragements
Selon l’Élysée, Emmanuel Macron adressera un «message d’encouragements aux sportifs», mais aussi à tous les différents acteurs qui s’attellent à préparer ces Jeux olympiques. Il devrait également évoquer le «caractère innovant» de ces JO, revenant sur «le dossier méticuleux de la sécurité de l’événement» ou encore «le défi des transports et l’accessibilité pour les personnes handicapées».
Ces Jeux se veulent également «plus utiles à la France et aux Français». De cette volonté, les questions de l’urbanisme et de la «baignabilité de la Seine et de la Marne» pourraient aussi être abordées.
Concernant la sécurité, 30.000 policiers et gendarmes, 15.000 militaires seront mobilisés. Entre 17.000 et 22.000 agents de sécurité privée pour les sites olympiques et les fans zone seront mobilisés.
Le président de la République a multiplié les formules lors de ses voeux aux Français du 31 décembre pour ériger 2024 en «millésime français» et année de «fiertés françaises».
Celui-ci compte sur les Jeux olympiques, mais aussi sur le 80e anniversaire du Débarquement en Normandie en juin et la réouverture en décembre de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris cinq ans après son incendie pour que les projecteurs mondiaux soient braqués sur la France.