Plus d'une semaine après le début de l'invasion russe, Kherson est tombée et Kiev craint le pire. Suivez en direct toutes les informations sur la guerre en Ukraine. 22H47 Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé le rejet «délibéré» de l'OTAN d'une zone d'exclusion aérienne en Ukraine. «Le terrorisme nucléaire exige une réponse décisive. Lors de la réunion de l'OTAN, nous avons appelé à instaurer une zone d'exclusion aérienne en Ukraine et à lancer une opération de maintien de la paix et de la sécurité (...) Le monde ne doit pas regarder, mais aider !», a-t-il tweeté. 21H56 Joe Biden a remercié vendredi lors d'un appel téléphonique son homologue polonais Andrzej Duda pour avoir «accueilli et aidé près de 700.000 Ukrainiens et d'autres ayant fui la guerre» provoquée par la Russie, selon un communiqué de la Maison Blanche. 21H18 Le régulateur russe de l'internet, Roskomnadzor, a commencé vendredi à «restreindre l'accès» à Twitter après avoir bloqué peu auparavant Facebook, ont annoncé les agences de presse russes. Selon Interfax et Ria Novosti, cette décision est basée sur une demande du Parquet russe datant du 24 février, le jour du début de l'invasion russe de l'Ukraine. Des journalistes de l'AFP basés en Russie ont pu constater vendredi soir que le fil Twitter ne se rafraîchissait plus. 20H20 Dans un communiqué, Emmanuel Macron a exprimé son «extrême préoccupation des risques» pour la sécurité nucléaire. «Le Président de la République est extrêmement préoccupé des risques pour la sûreté, la sécurité nucléaires et la mise en œuvre des garanties internationales qui résultent de l’invasion russe de l’Ukraine. La France, avec ses partenaires internationaux, a demandé que le Conseil de sécurité des Nations unies se réunisse en urgence», peut-on lire dans le communiqué. L'Élysée affirme également que «la France proposera dans les prochaines heures avec ses principaux partenaires, sur la base de critères techniques de l’AIEA des mesures concrètes afin d’assurer la sureté et la sécurité des cinq principaux sites nucléaires de l’Ukraine». 20H09 Vladimir Poutine a signé, ce vendredi 4 mars, la loi punissant de prison les «informations mensongères» sur l'armée et les appels aux sanctions. 20H03 Bloqué en Russie, Meta affirme que des millions de Russes seront «bientôt privés d'informations fiables». 19H15 Le régulateur russe de l'internet, Roskomnadzor, a ordonné vendredi le blocage de Facebook dans le pays, accusant le réseau social de «discriminer» des médias russes. «La décision a été prise de bloquer l'accès à Facebook» dès vendredi, a annoncé Roskomnadzor sur Telegram. Les journalistes de l'AFP en Russie ont pu constater que le réseau social ne fonctionnait plus sans VPN. 18H27 La Russie n'a pas attaqué le site nucléaire ukrainien de Zaporojie, une accusation qui est un «mensonge», a affirmé vendredi au Conseil de sécurité de l'ONU l'ambassadeur russe Vassily Nebenzia, en accusant l'Ukraine d'avoir provoqué un incendie dans cette installation. L'accusation selon laquelle la Russie est responsable «fait partie d'une campagne de mensonges» à l'encontre de Moscou, a-t-il asséné. L'Ukraine et les Occidentaux ont accusé la Russie d'être à l'origine de l'attaque. 18H26 Les pays du G7 ont exhorté vendredi la Russie à mettre fin à ses attaques «dans les environs immédiats des centrales nucléaires ukrainiennes», après des bombardements russes dans la nuit sur la centrale de Zaporojie, la plus grande d'Europe. «Toute attaque armée et toute menace contre des installations nucléaires utilisées à des fins pacifiques constituent une violation des principes de la Charte des Nations unies, du droit international (...)», selon une déclaration commune de ces pays, qui disent soutenir l'initiative du directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) «en faveur d'un accord entre l'Ukraine et la Russie qui garantisse la sûreté des installations nucléaires en Ukraine». 18H11 L'attaque d'un site nucléaire ukrainien par la Russie a représenté «une immense menace pour toute l'Europe et le monde», a affirmé vendredi au Conseil de sécurité de l'ONU l'ambassadrice américaine Linda Thomas-Greenfield. «Grâce à Dieu, le monde a échappé à une catastrophe nucléaire" dans la nuit, a-t-elle ajouté en qualifiant cette attaque d'"irresponsable et dangereuse». 17H55 La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a averti vendredi que l'UE se tenait prête à adopter «de nouvelles sanctions sévères si Poutine n'arrête pas la guerre qu'il a déclenchée». «Nous sommes résolus, nous sommes déterminés, nous sommes unis», a-t-elle déclaré à Bruxelles, au côté du secrétaire d'Etat américain, Antony Blinken. 17H34 Le journal russe indépendant Novaïa Gazeta, dont le rédacteur en chef est le dernier Prix Nobel de la paix, a annoncé vendredi soir la suppression de certains de ses contenus liés à l'Ukraine afin d'éviter des sanctions. «La loi sanctionnant les -fausses nouvelles- sur les actions des forces armées russes est entrée en vigueur (...) nous sommes obligés de supprimer de nombreux contenus. Mais nous avons décidé de continuer à travailler», a annoncé le journal. 17H09 La BBC a annoncé vendredi retirer tous ses journalistes de Russie pour assurer leur «sécurité», après l'adoption d'une loi prévoyant des peines de prison en cas de diffusion d'«informations mensongères sur l'armée» et le blocage de son site russophone, dans le cadre de l'invasion russe de l'Ukraine. 17H07 Le président russe Vladimir Poutine a déclaré vendredi dans un entretien avec le chancelier allemand Olaf Scholz que le dialogue en faveur de la paix avec l'Ukraine n'était possible que si «toutes les exigences russes» étaient acceptées. «La Russie est ouverte au dialogue avec la partie ukrainienne, ainsi qu'avec tous ceux qui veulent la paix en Ukraine. Mais à condition que toutes les exigences russes soient satisfaites», a indiqué le Kremlin dans un compte rendu de cet appel, qui a eu lieu «à l'initiative de l'Allemagne». 17H06 Le président Vladimir Poutine a assuré vendredi au chancelier allemand Olaf Scholz que les forces russes ne bombardaient pas Kiev et les grandes villes ukrainiennes, qualifiant de «grossière fabrication» les informations sur les destructions menées par Moscou. «Les informations concernant le prétendu bombardement de Kiev et d'autres grandes villes ne sont que de grossières fabrications de propagande», a assuré M. Poutine lors d'une conversion par téléphone avec le chancelier allemand, selon un communiqué du Kremlin. 15H30 Le chancelier allemand Olaf Scholz a exhorté le président russe Vladimir Poutine à mettre fin "immédiatement" aux hostilités en Ukraine, au cours d'un entretien téléphonique vendredi. Lors de cet échange, «le chancelier s'est dit très inquiet. Depuis plusieurs jours, il y a des images et des informations terribles en provenance d'Ukraine», selon un communiqué de la chancellerie. Olaf Scholz a appelé le dirigeant russe à «cesser immédiatement tous les combats et à autoriser l'accès humanitaire dans les zones de combat». 15H28 L'Ukraine table sur un troisième round des négociations avec la Russie ce weekend, a déclaré vendredi l'un des négociateurs ukrainiens, Mykhaïlo Podoliak, conseiller du chef de l'administration présidentielle. «La troisième étape peut avoir lieu demain ou après-demain, nous sommes en contact permanent», a-t-il indiqué lors d'une conférence de presse à Lviv, dans l'ouest de l'Ukraine, précisant que les Ukrainiens n'attendaient que l'accord des Russes pour retourner à la table des négociations. 15h08 Le guide gastronomique Michelin a annoncé vendredi qu'il suspendait ses activités en Russie en raison de la guerre en Ukraine. «Compte tenu de la gravité de la crise actuelle, les équipes du guide Michelin ont été amenées à prendre la décision de suspendre toute activité de recommandation de restaurants en Russie», indique le guide rouge dans un communiqué. 13h14 Le Kremlin a estimé vendredi que l'heure était à l'union autour du président Vladimir Poutine, au neuvième jour de l'invasion de l'Ukraine. «Ce n'est pas le moment de se diviser, c'est le moment de s'unir. Et s'unir autour de notre président», a estimé le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, lors d'un briefing à la presse, interrogé sur des appels de personnalités de la culture opposées à la guerre. 17H00 Vladimir Poutine a qualifié ce vendredi 4 mars de «grossière fabrication» les accusations de bombardements ubrains russes. Le président russe a tout de même signalé que le dialogue «n'est possible que si toutes les exigences russes sont acceptées». 12h37 «Le monde entier est contre vous», a assuré l'ambassadrice ukrainienne auprès de l'ONU à Genève, à l'attention du président russe Vladimir Poutine, après un vote historique au Conseil des droits de l'homme. «Le message adressé à Poutine a été clair: vous êtes isolé sur le plan international et le monde entier est contre vous», a déclaré Yevheniia Filipenko aux journalistes, entouré de nombreux diplomates, après un vote qui a vu des alliés aussi proches de Moscou que le Venezuela et Cuba s'abstenir. 12h27 Le Royaume-Uni a demandé vendredi la tenue d'une réunion d'urgence du conseil de sécurité de l'ONU à la suite de bombardements contre la plus grande centrale nucléaire ukrainienne, dénonçant «une menace à la sécurité et la stabilité» de l'Europe. «Nous avons demandé une réunion urgente du conseil de sécurité de l'ONU. Il s'agit d'une menace pour la sécurité et la stabilité de l'Europe et les responsables doivent rendre des comptes», a déclaré la cheffe de la diplomatie britannique Liz Truss aux télévisions britanniques depuis Bruxelles. 12h10 Un premier groupe de 415 Nigérians ayant fui l'invasion russe en Ukraine ont été rapatriés vendredi dans leur pays, ont constaté des journalistes de l'AFP à l'aéroport d'Abuja, la capitale. Ce groupe constitué en majorité d'étudiants est arrivé aux alentours de 07H30 (06H30 GMT) à Abuja depuis Bucarest, la capitale de la Roumanie, un des pays où de nombreux étudiants africains ont fui. Les ressortissants nigérians sont arrivés les visages fatigués mais l'air soulagé. «Je suis très heureux d'être de retour à la maison, merci au Nigeria», s'est exclamée une jeune femme sur le tarmac de l'aéroport. Le gouvernement du Nigeria, pays le plus peuplé d'Afrique, a affrété trois avions des compagnies locales Max Air et Airpeace en Europe pour rapatrier plus d'un millier de personnes. 11h51 Le Conseil des droits de l'homme de l'ONU a approuvé vendredi à une écrasante majorité une résolution en faveur d'une commission d'enquête internationale sur les violations des droits humains et du droit humanitaire en Ukraine après l'invasion russe. Après le vote massif de l'Assemblée générale des Nations unies plus tôt dans la semaine pour exiger de Moscou l'arrêt du conflit, la Russie a essuyé un nouvel échec cuisant au Conseil des droits de l'homme, la résolution ayant été adoptée par 32 votes pour, 2 contre (Russie et Erythrée) et 13 abstentions. 11h14 Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a réclamé un renforcement des sanctions occidentales contre Moscou après une attaque russe contre la première centrale nucléaire ukrainienne. "Un renforcement immédiat de sanctions contre l'Etat terroriste nucléaire est nécessaire", a-t-il déclaré dans une adresse vidéo vendredi matin en appelant également les Russes à "descendre dans la rue" pour arrêter les attaques russes contre les sites nucléaires en Ukraine. 11h12 Les niveaux de radioactivité restent inchangés sur le site de la centrale, qui fournit une grande partie de l'électricité du pays, a confirmé l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), selon qui aucun équipement "essentiel" n'a été endommagé. 11h01 La bourse de Londres perd 3% dans la foulée du bombardement de la centrale de Zaporijia. 10h54 Le chef de l'AIEA se dit prêt à se rendre à Tchernobyl afin de négocier une solution pour garantir la sécurité des sites nucléaires. 10h40 Un journaliste espagnol indépendant a été interpellé à la frontière polono-ukrainienne, en Pologne, soupçonné d'espionnage en faveur du renseignement militaire russe GRU, annonce l'Agence pour la sécurité polonaise ABW. 09h47 Le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg a condamné les bombardements "irresponsables" des forces russes qui ont touché la centrale nucléaire de Zaporojie, dans le sud de l'Ukraine, et a appelé à mettre fin à la guerre. "L'attaque contre une centrale nucléaire démontre le caractère irresponsable de cette guerre et la nécessité d'y mettre fin", a déclaré M. Stoltenberg, lors d'une brève intervention au coté du secrétaire d'Etat américain Antony Blinken, avant une réunion d'urgence des ministres des Affaires étrangères de l'Alliance. 09h29 Des perquisitions sont en cours dans les locaux de l'emblématique ONG russe des droits humains Mémorial, dont la dissolution a été ordonnée par la justice, a indiqué l'organisation. "Les perquisitions de Mémorial sont en cours aux deux bureaux des rues Karetny Riad 5/10 et Maly Karetny 12", à Moscou, a indiqué le Centre des droits humains Memorial sur son compte Telegram. 09h12 Les Bourses européennes ont entamé une nouvelle séance de nette baisse vendredi, prenant de nouveau peur après le bombardement de la plus grande centrale atomique d'Europe en Ukraine. Paris perdait 1,10% et Francfort 1,50% à l'ouverture, tandis que Londres perdait 0,40% dans les premiers échanges. Sur la semaine, les places européennes reculent entre 4% et 7%. 08h40 Les députés russes ont adopté un texte qui prévoit de lourdes peines de prison et des amendes pour toute personne publiant des "informations mensongères" sur l'armée, en pleine invasion de l'Ukraine par les forces de Moscou. 08h13 Après la frappe puis l'incendie, aucune fuite radioactive n'a été détectée à la centrale de Zaporijjia, indique le régulateur nucléaire ukrainien. 08h01 Les forces russes occupent le territoire de la centrale nucléaire de Zaporijjia. "Le territoire de la centrale nucléaire de Zaporijjia est occupé par les forces armées de la Fédération de Russie. Le personnel opérationnel contrôle les blocs énergétiques et assure leur exploitation en accord avec les exigences des règlements techniques de sécurité d’exploitation", a indique l'organisme d'Etat ukrainien. 07h53 Les autorités russes ont restreint l'accès aux sites de quatre médias indépendants, dont la BBC, renforçant leur contrôle déjà étroit de l'information au moment où Moscou mène une invasion de Ukraine. Selon le registre du régulateur russe des médias (Roskomnadzor), l'accès aux sites des éditions russophones de la BBC et de la radio-télévision internationale allemande Deutsche Welle, du site indépendant Meduza et de Radio Svoboda, antenne russe de RFE/RL, média financé par le Congrès américain, a été "limité" à la demande du parquet. 05h25 Les pompiers ont arrêté la propagation de l'incendie de la centrale de Zaporijjia. 04h56 Les secours ukrainiens ont indiqué avoir pu finalement accèder au site d'une centrale nucléaire du centre de l'Ukraine, où un incendie s'est déclaré après un bombardement russe. "Les unités sont intervenues pour éteindre l'incendie du bâtiment pour les formations", sur le site de la centrale, a indiqué le Service ukrainien d'urgence dans un communiqué sur Facebook, précisant qu'aucune victime n'était à déplorer et que 44 pompiers et 11 véhicules étaient engagés dans l'opération. 04h07 Les secours ukrainiens annoncent que les troupes russes les empêchent d'éteindre un incendie déclenché sur le site de la centrale atomique de Zaporijjia. "L'envahisseur n'autorise pas les unités des secours publics ukrainiens à entamer l'extinction de l'incendie", ont-ils indiqué dans un communiqué publié sur Facebook, précisant que le sinistre touchait un "batîment pour les formations" et qu'un seul des six réacteurs de la centrale fonctionnait actuellement. 04h00 Le Premier ministre britannique Boris Johnson a dénoncé dans un communiqué les "actions irresponsables" du président russe Vladimir Poutine, qui peuvent "menacer directement la sécurité de toute l'Europe", après le bombardement d'une centrale nucléaire par les forces russes en Ukraine. A l'issue d'un entretien téléphonique avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, M. Johnson a demandé une réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU "dans les prochaines heures". 03h50 Les équipements "essentiels" de la centrale nucléaire de Zaporijjia, en Ukraine, n'ont pas été touchés par l'incendie qui s'est déclenché après des frappes russes, rapporte l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). 03h47 Le président américain Joe Biden a appelé la Russie à permettre l'accès des pompiers à la centrale nucléaire de Zaporijjia. 03h03 Le régulateur nucléaire ukrainien n'a détecté "aucun changement" dans le niveau de radioactivité à la centrale de Zaporijjia, annonce l'Organisation internationale de l'énergie atomique (AIEA). 02h54 Le président américain Joe Biden s'est entretenu avec son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky au sujet de la centrale nucléaire de Zaporijjia. 02h40 L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a appelé à cesser l'usage de la force sur la centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d'Europe dans le centre de l'Ukraine, frappée par des bombardements russes, mettant en garde contre un "grave" danger si un réacteur est touché. L'AIEA "appelle à cesser l'usage de la force et avertit d'un grave danger si les réacteurs sont touchés", a tweeté l'organisation, précisant que son directeur général Rafael Mariano Grossi est en contact avec les autorités ukrainiennes et l'opérateur de la centrale pour évaluer la situation. 02h00 Le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kuleba, a exhorté la Russie a cesser de bombarder la centrale nucléaire de Zaporijja. "Si elle explose, ce sera dix fois plus gros que Tchernobyl! Les Russes doivent IMMEDIATEMENT cesser le feu", a tweeté M. Kuleba. 01h25 Un incendie s'est déclaré dans la centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d'Europe dans le centre de l'Ukraine, après un bombardement russe. "Suite à un bombardement des forces russes sur la centrale nucléaire de Zaporijjia, un incendie s'est déclaré", a indiqué ce porte-parole, Andreï Touz, dans une vidéo publiée sur le compte Telegram de la centrale. 00h28 Après l'Union européenne, les Etats-Unis ont accordé jeudi aux Ukrainiens présents sur leur sol un statut dit de "protection temporaire", qui empêche leur expulsion et leur donne le droit de travailler.