La jeune chanteuse Wejdene s’est une fois de plus attiré des foudres des associations de défense des animaux, après avoir posté des photos et vidéos avec un singe domestiqué et déguisé dans un zoo de Dubaï.
C’est dans sa story Instagram que Wejdene a publié des vidéos d'elle en train de câliner et embrasser un petit singe, habillé avec un pull à l’effigie de Simba, le lionceau du dessin animé «Le Roi Lion». «Il me manque trop», avait-elle commenté.
Une vidéo qui passe mal auprès des associations de défense des animaux, qui avait déjà réagi à son clip «16» dans lequel la chanteuse se met en scène avec un ours brun. «Ce qui manque à ce pauvre petit singe, c’est de ne pas être dans son milieu sauvage naturel, c’est de ne pas être auprès de sa mère, c’est de ne pas être déguisé... ET de ne pas être exploité par des humains !», a répondu l’association 30 millions d’Amis.
Il vous « manque trop » @WejdeneOfficiel ? Ce qu’il manque à ce pauvre petit singe, c’est de ne pas être dans son milieu sauvage naturel, c’est de ne pas être auprès de sa mère, c’est de ne pas être déguisé... ET de ne pas être exploité par des humains ! pic.twitter.com/aW51Hen7NE
— 30 Millions d'Amis (@30millionsdamis) November 16, 2020
Toute entreprise qui force des animaux à se produire ou à interagir avec des touristes en échange d’argent n’a pas à cœur les intérêts de ces animaux.
Pour ne pas faire les mêmes erreurs que @WejdeneOfficiel lisez ici https://t.co/CgdO43atbN pic.twitter.com/di6lYRR0Ds— PETA France (@PETA_France) November 16, 2020
L’association PETA France invite les internautes à éviter toutes les attractions qui promettent des photos avec des animaux, des balades ou baignades avec des espèces sauvages, pour «ne pas faire les mêmes erreurs que Wejdene».
Il y a quelques semaines, le journaliste engagé pour la protection de l’environnement Hugo Clément avait épinglé ce zoo de Dubaï, ou de nombreuses célébrités, notamment issues de la téléréalité, se rendent pour jouer avec des animaux sauvages.
Les associations de protection des animaux rappellent effectivement que les animaux sauvages en captivité sont souvent soumis à de la maltraitance pour pouvoir devenir plus dociles auprès des humains.