Le concours de Miss France 2018 approche et aura lieu le 16 décembre prochain. Alors que les candidates se préparent en Californie, la rédaction de CNews Matin a décidé de faire ses pronostics. Cinq Miss régionales semblent ainsi avoir toutes leurs chances pour succéder à Alicia Aylies, Miss France 2017.
Miss France : Lison Di Martino, Miss Ile-de-France
Agée de 18 ans, cette jolie brune originaire de Tournan-en-Brie (Seine et Marne) est notre favorite. Étudiante en deuxième année de STAPS, l’idée de se présenter au concours de Miss France lui est venue sur un coup de tête, en avril 2017. Elle a gardé le secret pour elle et a attendu d’être sélectionnée à Paris pour en parler à sa famille.
Elle s’est inscrite au concours pour vivre une expérience humaine et pour prendre confiance en elle. Très sportive, elle est passionnée de natation depuis douze ans. Elle fêtera son 19ème anniversaire le soir du concours.
Première dauphine : Safiatou Guinot, Miss Champagne-Ardenne
La jeune femme au sourire ravageur de 19 ans est originaire de Reims. Elle est étudiante en école d’hôtellerie et de tourisme et veut montrer que les Miss ne sont pas seulement des femmes superficielles mais des étudiantes brillantes. C’est une de ses amies qu’il l’a inscrite au concours. Elle a d’ailleurs été élue de justesse, au millimètre près, avec son «petit»1m70.
Troisième : Kléofina Pnishi, Miss Provence
Originaire du Kosovo, Kleofina Pnishi est originaire de Peyrolles-en-Provence. Brune aux yeux noirs, elle est déjà apparue dans plusieurs séries et téléfilms, notamment dans le feuilleton à succès «Plus belle la vie».
Son nom a été associé à une certaine polémique. Le règlement du comité Miss France stipule que les prétendantes ne doivent avoir ni tatouage ni piercing. En août dernier, la Miss Martinique avait dû céder sa place à sa Première dauphine à cause de son tatouage sur son omoplate. Les internautes ont pointé du doigt Kloefina Pnishi qui est également tatouée. Mais la polémique a vite été étouffée puisque son petit tatouage est discret et était «purement symbolique», celui-ci représentant un «lien fort et inséparable», soit le prénom de sa sœur et la date de son décès, survenu l’année dernière.
Diplômée d’une école de journalisme et communication, elle pourrait, comme l’ont fait avant elle, Malika Ménard et Sophie Thalmann, trouver sa place dans les médias.
Quatrième : Paoulina Prylutska, Miss Picardie
A dix-neuf ans à peine, la brune aux yeux bleus Paoulina Prylutska est originaire de Compiègne mais a des origines ukrainiennes, comme le montre son accent. La jeune femme est étudiante en DUT de techniques de commercialisation à l’IUT de Roubaix.
L’élection Miss France a toujours été un rêve. Elle suit le concours depuis qu’elle est toute petite. Sa maman l’a d’ailleurs beaucoup soutenue.
![Un trophée en bronze sculpté par l'artiste portugais Joao Da Silva et des photos de miss France 1920, Agnès Souret, exposés le 3 août 2017 à Saint-Jean-de-Luz, dans les Pyrénées-Atlantiques [IROZ GAIZKA / AFP/Archives]](http://static.cnewsmatin.fr/sites/default/files/styles/image_200_112/public/cd1bbf7023a964fe584c4a2a706218a1d0b1a667.jpg?itok=2eJUXmNs "Un trophée en bronze sculpté par l'artiste portugais Joao Da Silva et des photos de miss France 1920, Agnès Souret, exposés le 3 août 2017 à Saint-Jean-de-Luz, dans les Pyrénées-Atlantiques [IROZ GAIZKA / AFP/Archives]")
Cinquième : Eva Colas, Miss Corse
La jeune femme de 21 ans au sourire angélique est actuellement en master de gestion de patrimoine à Paris-Dauphine. C’est une brillante étudiante qui a obtenu en 2013 son baccalauréat avec la mention très bien. C’est Sylvie Tellier, la directrice du comité Miss France, qui l’a poussée à participer au concours.