Deux jours après l’incroyable braquage dont a été victime Kim Kardashian à Paris, l’enquête se poursuit pour déterminer l’identité des cinq malfaiteurs et procéder à leur arrestation.
Si pour l’heure aucune autre hypothèse n’est écartée, la piste menant à l’existence de complices dans l’entourage de la star américaine intéresse fortement les policiers.
Ces derniers en sont presque certains : seule une personne appartenant de près au cercle très fermé de proches de Kim-K a pu communiquer des informations permettant aux braqueurs de commettre leur méfait.
Parmi elles, le lieu où se trouvait la bombe américaine dans la nuit de dimanche à lundi, ou encore l’absence de son garde du corps, qui accompagnait deux sœurs de Kim-K en discothèque. Supposément, ces révélations auraient pu être échangées contre de fortes sommes d’argent.
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Kim-K piégée par les réseaux sociaux ?
Les malfaiteurs auraient ainsi très bien pu recouper et recroiser ces informations d’ordre confidentiel avec d’autres récoltées… sur les réseaux sociaux. L’autre axe de l’enquête oriente en effet les enquêteurs vers les comptes Instagram, Twitter ou Facebook de Kim Kardashian où elle a pris l’habitude d’exposer les moindres faits et gestes de sa vie privée.
Ce fut encore le cas lors de la Fashion Week de Paris. Présence au défilé Givenchy, dîner dans les restaurants les plus chics, selfie avec ses parures de bijoux… les internautes n’ont raté aucune miette de son passage dans la Ville Lumière. Ses comptes sur les réseaux restant publics - donc consultables par n’importe qui –, l’épouse de Kanye West aurait ainsi très bien pu distiller de précieuses informations aux malfaiteurs.
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En d’autres termes, celle qui a accédé à la notoriété en grande partie grâce aux médias, pourrait bien avoir été victime de son omiprésence sur Internet. Le monde à l’envers.