L'affaire des "disparues de Perpignan" pourrait être définitivement éclaircie à brève échéance. Jacques Rançon, placé lundi en garde à vue, a avoué spontanément un nouveau meurtre.
Jacques Rançon, déjà poursuivi pour l'assassinat de Mokhtaria Chaïb, retrouvée atrocement mutilée en 1997, a avoué un deuxième meurtre dans le dossier des "disparues de Perpignan", a-t-on appris mardi de source proche du dossier.
Le quinquagénaire, au lourd passé de délinquant sexuel, a été placé en garde à vue lundi à Perpignan et a avoué spontanément le meurtre de Marie-Hélène Gonzales, 22 ans, retrouvée mutilée le 26 juin 1998, a-t-on précisé de même source.