Dans un communiqué publié sur son site internet, la fédération française de gymnastique (FFGym) a réagi au décès de Lola, tuée dans des circonstances atroces vendredi dernier à Paris. La victime suivait ses entraînements de gymnastique dans un centre sportif à Pantin (Seine-Saint-Denis).
La France a perdu une championne. Deux jours après l’annonce de la mort de Lola, une collégienne âgée de 12 ans retrouvée vendredi dernier dans une malle à Paris, la Fédération Française de Gymnastique (FFGym) a présenté, dimanche 16 octobre, ses condoléances à la famille de la championne de France d’Aérobic 2021.
«La Fédération Française de Gymnastique a été informée de la disparition de Lola, championne de France d’Aérobic, sauvagement assassinée à Paris (19e) vendredi soir. Les circonstances effroyables de son décès plongent les membres de la fédération et toute la famille de la gymnastique dans une peine profonde et un sentiment d’incompréhension», a écrit la FFGym dans un communiqué.
«En raison de ces faits tragiques et particulièrement traumatisants, les services de la FFGym mettent actuellement en place une cellule de soutien à destination du Club Multi Sports de Pantin Aérobic. La FFGym présente ses condoléances à la famille de Lola, à ses amis et à ses partenaires du club de Pantin», a-t-elle ajouté.
Contacté par CNEWS, Régis Walker, président de la FFGym, a indiqué que la victime avait beaucoup de potentiel.
«C’est une jeune fille qui est morte dans des conditions atroces, elle habitait dans le 19e arrondissement de Paris et elle pratiquait la gymnastique à Pantin. Elle était assez douée en gym puisqu’elle avait participé au championnat de France l’année dernière qu’elle avait remporté dans sa catégorie».
Toutefois, la fédération française de gymnastique n’a pas souhaité donner plus de détails sur la cellule de soutien.