La pollution de l’air domestique peut entraîner des conséquences dramatiques. C'est ce que le souligne une étude publiée hier dans la revue médicale britannique The Lancet Respiratory Medicine.
Selon celle-ci, 2,8 milliards de personnes, soit près d’un tiers de la population mondiale, risquent d’avoir des problèmes de santé ou même de mourir prématurément à cause de la pollution générée à la maison par la préparation des repas, le chauffage ou encore l’éclairage.
Celle-ci aurait provoqué en 2012, 4,3 millions de décès, contre 3,7 millions attribués à la pollution atmosphérique extérieure, selon l’Organisation mondiale de la santé. (OMS).