François Fillon a plaidé jeudi pour «reprendre les privatisations» et pour que «l'Etat reprenne des capitaux immobilisés dans des entreprises commerciales où il a gardé des participations», comme chez Renault.
Il a estimé que ces mesures concernaient les entreprises où, pour l'Etat, «cela ne sert strictement à rien» de détenir des participations en terme d'influence sur la stratégie de l'entreprise, lors d'une rencontre avec des élus à la mairie de Chantenay-Villedieu (Sarthe), à l'occasion de son premier déplacement après sa victoire à la primaire de la droite dimanche.