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Richard Gere refusait d'être qualifié de «sex symbol» selon un animateur de télévision britannique

Richard Gere voulait donner une image sérieuse de lui-même. [Dia Dipasupil / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / Getty Images via AFP]

Dans un portrait réalisé par le site du Daily Mail, l’animateur de télévision de la chaîne ITV, Michael Aspel, s’est souvenu du passage de Richard Gere dans son émission «Aspel and Company» en 1989, et le refus catégorique du comédien d’être qualifié de «sex symbol».

Une réaction inattendue. Invité de l’émission «Aspel and Company» sur la chaîne britannique ITV en 1989, Richard Gere a menacé de porter plainte contre le programme si l’animateur, Michael Aspel, refusait de couper une partie de son introduction au montage. Ce dernier a révélé au site du Daily Mail avoir utilisé le mot «sex symbol» dans sa présentation du comédien au moment de leur interview. Ce qui a fortement déplu à la star de «Pretty Woman».

«Quand Richard Gere est venu dans l’émission, j’ai fait une présentation, et j’ai dit ‘il a fait ci, il a fait ça’. Et j’ai utilisé le mot ‘sex symbol’. Après notre entretien, son agent nous a appelé en nous prévenant que si nous n’enlevions pas ce mot au montage, ils n’hésiteraient pas à faire appel à leur avocat», se souvient Michael Aspel. «Il ne voulait pas être qualifié de la sorte. C’était très étrange. Mais il se prenait très au sérieux en raison de son engagement pour le Tibet à l’époque», précise-t-il.

Révélé grâce au film «American Gigolo» en 1980, puis élevé au rang de stars par «Officiers et Gentleman» ou encore «Cotton Club», Richard Gere était également connu pour son engagement en faveur des droits de l’homme au Tibet au début des années 1980. En 1987, il sera le co-fondateur de la Tibet House à New York, une organisation consacrée à la sauvegarde de l’héritage culturel et spirituel tibétain.

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