Invité de l’émission «En Aparté» sur Canal+, Mathieu Kassovitz est revenu sur sa séparation avec la mère de ses enfants, et de la manière dont cet événement l’a poussé à apprendre à faire la cuisine.
Nouvelle compétence. Actuellement au casting du film «L’Astronaute», Mathieu Kassovitz était l’invité de l’émission «En Aparté» sur Canal+, où il a évoqué des instants personnels de son existence, notamment sur la manière dont sa relation avec ses enfants – Carmen, née de son union avec la comédienne Julie Mauduech, et Max et Ava, nés de sa relation avec le mannequin Aurore Lagache – a évolué après sa séparation.
L’acteur de 55 ans explique ainsi n'avoir jamais eu la passion de la cuisine auparavant. Mais que les circonstances de la vie l’ont poussé à développer ses compétences aux fourneaux, et ce pour son plus grand plaisir (voir sur myCANAL, à partir de 10:40).
«Moi je cuisine pour mes enfants, quasiment tous les jours. (…) J'aime beaucoup nourrir mes enfants en fait. C'est essentiel pour moi», explique Mathieu Kassovitz, avant de revenir sur le moment qui a fait naître sa passion pour la cuisine. «Quand je me suis séparé de leur mère, j'ai eu ensuite une amie qui était très forte en cuisine et je me suis complètement relaxé sur elle. Et quand je me suis séparé d'elle, j'ai commencé à faire de la livraison sur Internet. Quand ils ont commencé à m'envoyer leur proposition de carte de fidélité, je me suis dit qu'il fallait que je me mette à la cuisine, car je ne peux pas nourrir mes enfants par correspondance, comme ça !», poursuit-il.
La star de la série «Le Bureau des Légendes» s’est également confié sur sa relation avec sa fille aînée, Carmen, et l’échange très direct qu’il avait eu avec elle il y a quelques années concernant son entrée dans la vie d’adulte. «Moi, ma fille, à 18 ans, je lui ai dit : ‘Écoute, c'est simple, ça fait dix-huit ans que je galère et que je travaille pour t'amener là où tu es aujourd'hui. Si j'ai fait un bon boulot, tu n'as plus besoin de moi. Maintenant, je ne suis plus ton père, je suis ton pote. Si tu as besoin de moi pour des problèmes ou quoi que ce soit, je suis là. Mais je n'ai plus rien à te dire. (...) Je crois que je t'ai amené une assez bonne éducation jusqu'à aujourd'hui pour te faire confiance et que tu ne feras pas les conneries que tu pourrais faire si je n'avais pas été présent ou si je ne t'avais pas guidé’», révèle-t-il. Un franc-parler qu’on lui connaît depuis toujours.