Le premier épisode de «The Last of Us» a permis d’introduire les personnages principaux dont les téléspectateurs vont suivre les aventures. Ainsi que la FEDRA, l'Agence Fédérale de Réponse aux Catastrophes, qui gère les survivants de l’épidémie d’une main de fer.
Le pouvoir de la peur. Dans le premier épisode de «The Last of Us», les téléspectateurs découvrent la manière dont l’épidémie s’est manifestée, en 2003, dans la vie de Joel. Vingt ans plus tard, l’Humanité est au bord de l’éradication, et les survivants ont tous été regroupés dans des Zones de Quarantaine situées aux abords des grandes villes, comme à Boston. Celles-ci sont dirigées d’une main de fer par la FEDRA, l'Agence Fédérale de Réponse aux Catastrophes, qui a été la réponse militaire à l’infection dont elle a eu la charge de contenir à tout prix.
La FEDRA fait patrouiller des soldats armés dans les rues, avec la mission d’éliminer toute personne contrevenant aux règles très strictes établies visant à empêcher toute infection au sein de la Zone de Quarantaine. Toute personne venue de l’extérieure est testée, et exécutée sans ménagement si elle est porteuse du virus. Et les corps sont ensuite brûlés par des citoyens recrutés par la FEDRA. Ceux qui contreviennent aux règles sont exécutés par pendaison en place publique.
Face à cette organisation totalitaire, qui tente d’assurer la survie de l’Humanité par tous les moyens, se dresse les Lucioles, une organisation rebelle qui mène des opérations armées pour déstabiliser ce pouvoir autoritaire dont les méthodes ont toutefois permis de maintenir les gens en vie. Mais à quel prix ? Dans le premier épisode, on comprend qu’Ellie, qui est contaminée mais naturellement immunisée, représente le seul espoir de l’Humanité de trouver un vaccin ou un quelconque remède contre le virus. Encore faut-il qu’elle parvienne à rester en vie. Et ce n’est pas la FEDRA, qui l’exécuterait sur le champ selon son mode opératoire, qui l’aidera à le faire.