Invité de l'émission animée par Jordan De Luxe, «Chez Jordan», Francky Vincent n'a pas mâché ses mots au moment de parler de David Charvet et de Greg le millionnaire, n’hésitant pas à traiter de «cons» les deux hommes qui avaient participé avec lui à l'émission de télé-réalité «La ferme célébrité en Afrique», en 2010.
Sans langue de bois. Invité sur le plateau de l’émission «Chez Jordan» ce mardi 10 janvier, Francky Vincent a été amené à revenir sur sa participation à l’émission de télé-réalité «La ferme célébrité en Afrique» diffusée sur TF1, en 2010. Un programme dont l’interprète d’«Alice ça glisse» n’a pas gardé que de bons souvenirs, notamment à cause du comportement de David Charvet et de Greg le millionnaire à son égard.
«C’était une aventure (La Ferme célébrité, ndlr), et je pensais que j’étais con. Mais je me suis retrouvé avec des gens plus cons que moi. Quand vous découvrez des gens qui sont plus cons que vous, ça fait bizarre quand même !», commence-t-il.
«Un matin, je regardais David Charvet. Le mec, il est beau, même au réveil. C’est un beau gosse, y’a pas à dire. Mais qu’est-ce qu’il est con ! Il est con, mais con. C’est un peu comme la formule utilisée chez les femmes, ‘soit belle et tais-toi’. Et bien figure toi que chez les hommes, ça existe aussi. Soit beau et ferme-la. Ah oui !», enchaîne-t-il à propos de l’ancien acteur d’Alerte à Malibu.
Mais que diable a pu faire David Charvet pour s’attirer les foudres de Francky Vincent ? Ce dernier répond : «Il était jaloux dans l’aventure. Il était jaloux que je sois percussionniste, que je sois guitariste, que je chante. Parce que je suis auteur/compositeur aussi. Durant l’aventure, j’ai composé au moins six chansons. Et ça, c’est quelque chose qui le perturbait».
«Et avec Greg le millionnaire, ça s’est bien passé ?», s’interroge alors Jordan De Luxe. «Non plus !», lance le chanteur. «Il était dans le même sac que David Charvet. Lui se la jouait beau gosse, mais ce n’était pas le même genre que David Charvet quoi. Donc ça me faisait rigoler. Surtout que Mickaël (Vendetta, ndlr) et moi, on s’amusait de leurs attitudes. (…) Ils avaient un complexe de supériorité. Pour eux, comme Mickaël était très jeune, il était un petit branleur. Et comme moi j’étais plus âgé, j’étais un tonton qui devait la fermer», précise-t-il.