Dans une interview croisée avec Ariana Grande pour le site américain Entertainment Weekly, Jennifer Coolidge (The White Lotus) a révélé que son rôle de «la mère de Stiffler» dans le film «American Pie», en 1999, lui avait permis d’enchaîner les conquêtes. Dont un jeune homme en particulier.
La rançon de la gloire. Avant de briller dans le rôle de Tanya dans la série «The White Lotus» – dont les saisons 1 et 2 sont disponibles en intégralité sur myCANAL – Jennifer Coolidge avait marqué les esprits en incarnant «la mère de Stiffler» dans la comédie pour adolescent «American Pie», en 1999, une MILF (acronyme anglophone désignant une femme d’âge mûre désirable sexuellement, ndlr) qui finit par avoir un rapport sexuel avec un des amis de son fils.
Dans une conversation croisée avec la chanteuse Ariana Grande menée pour le site américain EW.com, qui se présente comme une de ses plus grandes fans, la comédienne âgée de 61 ans a révélé que ce rôle lui avait permis d’enchaîner les conquêtes durant la décennie suivante. «Vous souvenez-vous de votre meilleur coup après avoir incarné la mère de Stiffler ?», demande sans hésitation Ariana Grande à celle qui avait affirmé, en avril dernier, avoir couché avec 200 personnes après le film (elle a précisé par la suite que ce chiffre était probablement exagéré).
«Et bien, il y a eu le plus jeune d’entre eux. Il était tellement charmant», explique Jennifer Coolidge, précisant que ce garçon avait l’âge légal au moment d'une entrevue qui s’est terminée de manière un peu embarrassante. «Après coup, le lendemain matin, je lui ai dit que j’avais besoin d’aller chez le coiffeur. Et il était tellement jeune qu’il a appelé sa mère pour lui demander l’adresse d’un salon où je pouvais me rendre», poursuit-elle. «C’était bizarre que cela se passe au téléphone. C’était évident que nous étions encore au lit tous les deux», continue Jennifer Coolidge. L’actrice précise que l’adresse donnée par la mère du jeune homme lui avait permis de s’occuper de ses cheveux comme elle le désirait.
«’American Pie’ était juste… Cela a aidé ma vie sentimentale d’une manière que je ne pourrais pas expliquer. Si je n’avais pas fait ce film, je ne crois pas que… Disons que ça aurait été une décennie bien morose», ajoute-t-elle.