Dans un entretien accordé au site américain EW.com, Charlie Cox a confié sa joie de pouvoir incarner à nouveau le personnage de Daredevil à l’écran, et à quel point cela lui semble encore irréel aujourd’hui.
L’homme sans peur est de retour. Dans une interview avec le site américain EW.com, Charlie Cox a partagé son bonheur de pouvoir à nouveau incarner Daredevil au sein de l’univers Marvel. Le comédien de 39 ans avait été contraint de faire ce qu’il pensait être ses adieux au personnage de Matt Murdock, quand la série a été annulée par Netflix au bout de trois saisons en 2018. C’était sans compter sur le patron de Marvel Studios, Kevin Feige, qui a décidé de donner un nouvel élan au personnage en le faisant apparaître dans «Spider-Man : No Way Home», puis dans plusieurs épisodes de la série «She-Hulk : Avocate».
Au printemps 2024, la série «Daredevil : Born Again» fera ses grands débuts sur Disney+ avec une saison 1 de 18 épisodes. Un retour qui paraît encore irréel à Charlie Cox. «Je n’ai pas encore totalement réalisé. Cela me semble encore trop beau pour être vrai. J’ai vraiment dû me forcer à me détacher émotionnellement du personnage (au moment de l’annulation par Netflix, ndlr). Je ne pensais pas que cela arriverait. Je n’ai pas de mots pour décrire ce que je ressens. Je me sens reconnaissant. Je suis excité à l’idée de recommencer, de lire les scripts, de remettre le costume et d'aller sur le plateau de tournage à New York», confie-t-il.
Désormais, Charlie Cox fait partie intégrante du MCU, l’Univers Cinématographique de Marvel, où évoluent la totalité des super-héros de la franchise. Dans la série «Daredevil : Born Again», les fans retrouveront également un autre visage connu à l’écran, avec Vincent D’Onofrio de retour dans le rôle de Wilson Fisk. «Je suis impatient de découvrir pourquoi Marvel a choisi de nous faire revenir pour une saison de 18 épisodes. Il doit y avoir une bonne raison de faire revenir Daredevil», exulte Charlie Cox. Un enthousiasme et une impatience partagée par les nombreux fans de celui que l’on surnomme l’Homme Sans Peur.