Dans l’épisode de «Pékin Express» diffusé ce mercredi 27 juillet, l’ex-Première dame Valérie Trierweiler a lâché une insulte à l’encontre de deux de leurs adversaires, Inès Reg et sa sœur, suscitant une petite polémique à laquelle l’humoriste vient de réagir.
Une féroce compétition. Valérie Trierweiler et son amie Karine livrent une bataille sans pitié aux autres compétiteurs de la saison en cours de «Pékin Express», si bien que, dans le feu de l’action, l’ancienne Première dame n’a pas pu s’empêcher de laisser s'échapper une insulte à l'encontre d'Inès Reg et de sa soeur, qui venaient d'agiter devant elles le drapeau rouge, les contraignant à momentanément stopper la course. Diffusée ce mercredi 27 juillet sur M6, cette séquence, qui avait interloqué de nombreux téléspectateurs, a été ce jeudi commentée par les candidates cibles du juron elles-mêmes.
«Nous avons découvert avec ma sœur, comme vous tous, que nous étions des 'salopes'. On n'était pas du tout au courant», a ainsi commenté l’humoriste Inès Reg en riant. «Ce n'est pas grave, c'est le jeu», a-t-elle tenu à relativiser dans une vidéo enregistrée au côté de sa sœur, ne cachant cependant pas avoir été un peu heurtée. «C'est une femme qui a eu une carrière, qui a été première dame. Oui c'est vrai, c'est dur d'entendre des mots comme ça. J'avoue que ça pique un peu sur le moment», a concédé Inès Reg.
Valérie Trierweiler et sa meilleure amie Karine, lourdement bousculée par un éléphant dans le même épisode, se sont révélées extrêmement compétitrices, souligne Inès Reg, qui se souvient notamment d'un épisode qui lui a prouvé que le duo n’était pas venu dans l’émission pour faire de la figuration.
«Depuis le début, elle était piquante avec nous, a déclaré Inès Reg à propos de Valérie Trierweiler. Quand on a mangé des c*** de taureau, il y avait comme des os, qui ne se mangeaient pas, et du coup quand on avait fini de manger, on avait demandé à la production et à Stéphane (Rotenberg) si c'était okay. On voulait qu'ils viennent vérifier et confirment que c'était bon, même s'il restait ces petits os. Et elles, elles nous ont directement pointées du doigt. Ça a été coupé, mais elles ont hurlé 'Elles ont pas fini !' On était folles ! C'était plein de petits trucs comme ça», a raconté celle qui a reconnu avoir du coup scellé une alliance avec Xavier Domergue, Yoann Riou, Rachel Legrain-Trapani et Valentin.
Mais les inimitiés n'auraient cependant pas eu cours le soir, une fois la course entre parenthèses. «En fait, c'est vraiment que dans le jeu. On en était tous conscients. Dans le jeu, c'était plus compliqué. On avait tous envie de gagner mais pas les mêmes façons de faire les choses», a quant à elle souligné Anaïs, la soeur d'Inès.