Britney Spears dénonce «l’hypocrisie» derrière les récents documentaires censés retracer sa vie et sa carrière.
Dans un message posté sur Instagram, la chanteuse s’agace de la vision qu’ils donnent de son passé, en particulier des heures difficiles qu’elle a vécues en 2007 et sa mise sous la tutelle de son père dont elle demande actuellement à se défaire.
La star fait référence à «Framing Britney Spears», documentaire produit par le New York Times dévoilé en février, et «Britney : fans, cash et conservatorship», diffusé par la BBC le week-end dernier.
«2021 est définitivement meilleure que 2020 mais je ne pensais pas que ça se passerait comme ça. Tellement de documentaires à mon sujet cette année, qui relatent les points de vue d'autres personnes sur ma vie… Que puis-je dire… je suis profondément flattée ! Ces documentaires sont tellement hypocrites… ils critiquent les médias et font exactement la même chose», écrit Britney Spears en légende d'une vidéo dans laquelle, comme à son habitude sur le réseau social, elle danse.
L'artiste reproche également aux médias de se concentrer uniquement sur les moments les plus difficiles de son existence au lieu de montrer ses joies et ses réussites. « Je ne vous connais pas, mais je suis ravie de vous rappeler que même si j'ai vécu des moments assez difficiles dans ma vie… J'ai vécu des moments plus incroyables dans ma vie et malheureusement, mes amis…, Je pense que le monde est plus intéressé par le négatif », déplore-t-elle.
En mars dernier, l’interprète de Toxic avait déjà fait savoir que le documentaire «Framing Britney Spears» l’avait faite « pleurer pendant deux semaines ». Alors que deux nouveaux documentaires sont actuellement en préparation, un pour Netflix et un autre par Britney elle-même, rapporte la BBC, sa bataille judiciaire autour de la tutelle de son père se poursuit. Son avocat a récemment déclaré qu’elle avait demandé à s’exprimer elle-même devant la juge le 23 juin prochain afin de demander à ce que ce ne soit plus son père qui supervise sa vie mais sa manageuse Jodi Montgomery.