En direct
A suivre

Disney+ : Tout savoir sur l’abonnement à la plate-forme de streaming

La plate-forme de streaming Disney+ sera accessible en France dès le 7 avril.[© capture d'écran / Twitter / Disney+]

C’est le mardi 7 avril à minuit que Disney+ sera officiellement disponible en France. La plate-forme de streaming a été contraint de repousser son lancement à la demande du gouvernement en raison de l’épidémie de coronavirus.

Disney+ devait initialement se lancer le 24 mars dans l'Hexagone, et dans plusieurs pays d’Europe simultanément, au Royaume Uni, en Espagne, en Allemagne et en Italie. La Belgique, le Portugal et les pays scandinaves devront patienter jusqu’à cet été.

Elle est disponible depuis le 12 novembre 2019 aux Etats-Unis, au Canada, en Nouvelle-Zélande et aux Pays-Bas.

Combien coûte l’abonnement ?

Il faudra débourser 6,99€ par mois, ou 66,99€ par an, pour s’abonner à la plate-forme. L’offre est sans engagement, et toute résiliation sera effective à la fin de la période de facturation.

A la faveur d’un partenariat exclusif avec Canal+ (qui sera le seul distributeur officiel sur les box Internet), il sera également possible de souscrire à l’offre Série limitée, qui comprend Canal+ et Disney+, pour 19,90€ pendant deux ans. Autre possibilité : l'offre Ciné/Séries à 34,90€ par mois, qui permet de bénéficier de Disney+, en plus du bouquet OCS, Netflix, Canal+Séries, des chaînes américaines de références (Adult Swim, Sundance TV, Warner Bros TV, etc.) et de l’ensemble des chaînes cinémas (Canal+Cinéma, toutes les déclinaisons de Ciné+, Disney Cinéma, etc.). Une façon idéale de regrouper les meilleures plate-formes de streaming dans une seule formule.

Retrouvez vos films en streaming sur myCANAL en souscrivant à l'offre Disney+

Comment regarder Disney+ ?

Disney+ sera disponible directement via le téléchargement de l’application sur les apps stores (Apple, Google, Samsung, LG, Xbox, PS4, etc.) et en direct sur DisneyPlus.com.

Sur les box Internet des opérateurs, il faudra en revanche utiliser obligatoirement l’application myCANAL pour accéder au catalogue. Pour rappel, à l’occasion du lancement de Disney+ en France, le groupe Canal+ diffusera le premier épisode de The Mandalorian sur ses antennes : à 20h20 sur Canal+ et Canal+ Family, à 21h20 sur C8, puis enfin à 22h40 sur CSTAR.

Le 5 mars dernier, Amazon a annoncé que Disney+ sera accessible sur Fire TV Stick et ses tablettes Fire.

L’application Disney+ permettra de créer un total de 7 profils utilisateurs, de regarder sur 4 écrans en simultané, et donnera accès à un téléchargement illimité sur 10 appareils. Plusieurs contenus accessibles sur la plate-forme seront disponibles en 4K, de quoi réjouir les amateurs d’une image de qualité.

On regarde quoi sur Disney+ ?

A en croire le compte Twitter du grand patron de Disney, Robert Iger, l’interface de Disney+ sera sensiblement proche de celle de Netflix, c’est-à-dire sobre et fonctionnelle.

Pour ce qui est du contenu, Disney+ proposera un catalogue contenant pas moins de 500 films classiques, toute la collection Pixar (Toy Story, Le monde de Dory…), les films Marvel, l’ensemble de l’univers Star Wars - avec les 7 premiers films (en attendant les deux derniers), les séries animées et la création Disney+ Originals The Mandalorian – mais aussi les contenus de la 21st Century Fox, dont Avatar, les X-Men, et des séries cultes comme Les Simpsons, Futurama ou encore Malcolm. L’offre de documentaires et autres émissions – notamment provenant de National Geographic – sera, elle aussi, large et variée.

Disney+ propose déjà 26 créations originales à ses abonnés, et travaille actuellement au développement de plusieurs contenus dont des séries de super-héros (Loki, Falcon & The Winter Soldier, etc.), et d’autres fictions dérivées de l’univers Star Wars, qui viendront grossir un catalogue déjà impressionnant. A noter que la plate-forme de streaming mettra en place la même stratégie de diffusion qu’aux Etats-Unis, pour des séries comme The Mandalorian par exemple, avec la diffusion d’un épisode inédit chaque semaine.

De quoi préserver la fraîcheur de son catalogue, et éviter le «binge watching» à outrance.

À suivre aussi

Ailleurs sur le web

Dernières actualités