Leurs performances ont été vues de dizaines de millions de fois sur YouTube. Nous nous sommes perdus dans un couloir spatio-temporel et avons déniché cinq artistes de rue pour le moins étonnants.
Tout le monde a déjà vécu ça. On visionne une vidéo sur le Web, et trois heures plus tard, sans savoir vraiment ce qui s’est passé, on se retrouve à regarder un truc complètement barré à mille lieues de la raison initiale qui nous avait attiré là. Et des fois, avec un peu de chance, on tombe sur des pépites.
De la techno avec des claquettes
Mesdames et messieurs, voici « Pipe Guy », de son vrai prénom Jake. Originaire d’Australie, il a lui-même construit cet engin fait de tubes en PVC sur lesquels il frappe avec des claquettes, et reproduit, par exemple, Seven Nation Army de The Whitestripes. Et sa prestation est juste… hallucinante.
Le violon pop
Violoniste américain, Bryson Andres est capable de jouer du Katy Perry et du Lady gaga avec une virtuosité à vous décrocher la mâchoire. Avec sa pédale loop, il gère lui-même l’orchestration. Difficile de ne pas se laisser transporter par son coup d'archet.
Le batteur australien
Sa performance a été visionnée près de 90 millions de fois (et elle n’est même pas hébergée sur sa chaîne, mais le premier message épinglé est de lui. Sa chaîne est là). Surnommé Gordon Drummer, il tape sur des vieux bidons de peinture, et sur le sol, avec beaucoup d’énergie. Techniquement, il est très, très fort.
Le magicien Italien
Dario Rossi aime se produire dans sa ville, à Rome. Et taper sur des ustensiles de la vie de tous les jours – casseroles, poêles, bidons, ferrailles, etc. – pour créer sa musique avec une dextérité confondante.
Le « Jésus » de la guitare
Une recherche rapide sur Google d’Estas Tonne, guitariste russe, suffit à comprendre que cet homme est une légende vivante de la guitare (le gars a une page Wikipédia s'il vous plaît). Et bien plus qu’un simple artiste de rue. Mais sa notoriété internationale ne l’empêche pas de sortir sa guitare dans la rue à l'occasion pour se produire comme un « troubadour des temps modernes » comme il se définirait lui-même. (ps : notez l’encens qu’il fait brûler sur la tête de sa guitare pendant qu’il joue… le détail qui tue).