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Mort de Michel Blanc : les hommages se succèdent

Michel Blanc, inoubliable Jean-Claude Dusse des «Bronzés», est décédé à l’âge de 72 ans des suites d’un malaise cardiaque. [© CNEWS]

Dans la nuit de jeudi 3 à vendredi 4 octobre, Michel Blanc, membre de l’incontournable troupe du Splendid, est décédé à l’âge de 72 ans. Depuis l’annonce de son décès, les hommages se multiplient sur les réseaux sociaux.

«Quand te reverrai-je… ?». Dans la nuit de jeudi 3 à vendredi 4 octobre, Michel Blanc, inoubliable Jean-Claude Dusse des «Bronzés», est décédé à l’âge de 72 ans des suites d’un malaise cardiaque. Depuis, les réactions prolifèrent sur les réseaux sociaux.

Le chef de l'État, Emmanuel Macron, a réagi à la perte du «monument du cinéma français» ce vendredi sur X. «Ils nous a fait pleurer de rire et ému aux larmes. (...) Nos pensées vont à ses proches et à ses complices de jeu».

Les membres du Splendid regrettent «un pote, un frère, un partenaire»

Dans une story éphémère sur son compte Instagram, son ami et partenaire de la mythique bande du Splendid, Gérard Jugnot, partageait le message : «Putain Michel… Qu’est-ce que tu nous as fait…».

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© @gerardjugnot.off

Josiane Balasko, autre membre de la troupe du Splendid, avec qui Michel Blanc était très complice, a partagé un cliché du défunt comédien sur son compte Instagram ce dimanche. «Michel mon pote mon frère mon partenaire», a-t-elle sobrement écrit sous la photographie. 

Le milieu du septième art rend hommage à un «acteur immense»

Gérard Lanvin, qui avait joué au côté de Michel Blanc dans «Marche à l'ombre» en 1984, a déploré la «mauvaise nouvelle» sur son compte Instagram. «Repose en paix mon amigo...», a-t-il écrit sous une photographie du long métrage où il apparait avec le comédien.

Le comédien Pierre Niney, à l'affiche de l'adaptation au cinéma du roman d'Alexandre Dumas «Le comte de Monte-Cristo», a rendu hommage sur X au septuagénaire. «Sa gentillesse et son talent m'avaient tant impressionné lors de mon premier tournage de film, j'avais 18 ans, je jouais son fils. J'ai su que je voulais être acteur grâce à ce genre de rencontre», s'est-il souvenu du tournage du long métrage «School's Out», sorti en 2008. 

Norbert Saada, producteur de «Mort d’un pourri» ou encore «Attention, les enfants regardent» a réagi sur CNEWS : «Je n’en reviens pas. Il avait l’air en pleine forme. (…) Il ne me paraissait pas malade. (…) Quand on m’a appris la nouvelle ce matin, j’ai cru que c’était un gag». 

Le réalisateur et scénariste, Jean-Marie Poiré, s'est souvenu sur CNEWS de la «drôlerie incroyable» de Michel Blanc. Notamment d'«une soirée chez Michel Blanc où il pouvait passer quatre heures et demie à jouer du piano (...) à chanter des chansons absurdes».

La sphère politique partage sa «peine immense»

Sur le réseau social X (anciennement Twitter), Christian Estrosi, a salué le talent de l'acteur pour «mêler toutes les émotions de la comédie au drame durant sa riche carrière, mais aussi toucher tous les publics à travers plusieurs générations».

La ministre de la Culture, Rachida Dati, a partagé sa «peine immense» sur X. «Michel Blanc nous aura épaté par la variété de son jeu d’acteur, mais aussi par ses talents de réalisateur», a salué la maire du 7e arrondissement de Paris. 

L'ancien ministre de la Culture, Jack Lang, a fait des révélations sur son quotidien avec le défunt comédien. «Depuis de longues années, nous avions l'habitude d'échanger presque tous les jours, sur tout et sur rien, au café "Ma Bourgogne" place des Vosges (à Paris, ndlr)», a-t-il confié sur X.

Sandrine Rousseau, la députée EELV, a regretté la perte «d'un complice, un repère, une icône», sur X.

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