Tube phare des années 1990, «Free from desire» est toujours aussi populaire, pour le plus grand bonheur de Gala. Mais que devient la chanteuse italienne ?
Près de 30 après sa sortie, le tube planétaire et intergénérationnel «Free from desire», interprété par la chanteuse Gala, continue de faire danser le monde entier. Après s’être imposée comme l'hymne des Bleus lors de la Coupe du monde au Qatar, la chanson au refrain entraînant a fait son grand retour cette année dans les sites des Jeux olympiques de Paris.
Désormais âgée de 48 ans, l’artiste italienne, de son vrai nom Gala Rizzatto, a même fait le déplacement jusqu’au Parc des Princes à l’occasion de la finale olympique de football, qui opposait les Bleus de Thierry Henry à l’Espagne, pour interpréter en live son tube des années 1990. Une apparition qui n’a pas manqué de surprendre le public.
@staditofr La chanteuse Gala interprète son titre Freed From Desire en live avant la finale olympique au Parc des Princes ! #Paris2024 #olympics #football #paris #parcdesprinces #letsmove son original - Staditofr
Il faut dire que depuis quelque temps, la chanteuse se fait plutôt discrète. Pour autant, elle n’a pas abandonné la musique. Gala, prénom choisi par ses parents en hommage à Gala Dali, la femme du peintre Salvador Dali, continue en effet de donner des concerts un peu partout en Europe. Dès le mois de septembre, elle enchaînera notamment plusieurs dates en Allemagne.
Ces dernières années, celle qui se voyait danseuse de flamenco a également passé du temps en studio d’enregistrement mais ces autres singles, dont le plus récent «The Parallel Lines», un titre folk dans laquelle sa voix grave raconte le destin de deux amants, n’ont pas rencontré un franc succès.
La Milanaise, qui a vendu plus de 6 millions de disques dans le monde, a également créé son propre label de musique, baptisé Matriarchy Records et basé à Brooklyn, aux États-Unis, qui a pour objectif d'aider les femmes à développer leur carrière musicale.